RIPAM
RIPAM

Epars Pierre-arnaud
Epars Pierre-arnaud
Bonjour, si la plage à 0.5 miles est au vent elle sera abritée, et constitue donc la meilleur solution, ce qui n'aurait pas été le cas si elle avait été sous le vent....
Epars Pierre-arnaud
Epars Pierre-arnaud
Et ce d'autant plus qu'en se rapprochant de la plage le fetch va diminuer et donc la hauteur des vagues....
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Raoul Lemercier
Raoul Lemercier
A mon avis, le RIPAM qui fixe des obligations pour les bateaux non privilégiés ET privilégiés, m'impose surtout dans ce cas de ne pas modifier ma route et donc de conserver mon cap et ma vitesse jusqu'à ce que le rattrapant m'ai dépassé.
Eric Bretagne
Eric Bretagne
Il convient ici de replacer les éléments dans un contexte de navigation de PLAISANCE au niveau du permis côtier qui font suite à de nombreuses expériences vécues et de cas concrets de non respect de cette règle du rattrapant par des plaisanciers qui peuvent soit ne pas la connaître ou soit l'avoir oubliée. L'objectif "pédagogique" est principalement de rappeler qui est privilégié et qui ne l'est pas dans cette situation afin que chaque plaisancier chef de bord, rattrapant ou rattrapé, se rappelle de maintenir une veille attentive et anticiper sur les manœuvres de l'autre tout en étant conscient de cette notion de privilège respectif.
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Sauvetage d'un bateau de réfugiés sur la Manche

Manu Le roy
Manu Le roy
Merci pour ce point de vue qui est une belle mise au point : que les haineux restent à terre.
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Le Lac du Der en Champagne, à 2h30 de paris

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Jérôme Jl
Jérôme Jl
Je suis tout a fait pour l'intégration des 2 permis en 1 seul. En effet les notions du hauturier sont tres utiles aux marins côtiers. Je trouve aussi aberent de séparer la VHF des permis. Un seul permis plus complet écrémerait les élèves un peu légers au profit des plus sérieux. Déjà que globalement le permis est si facile à obtenir.
Nicolas Godron
Nicolas Godron
Il est totalement incohérent de constater que le Certificat Restreint de Radiophonie (CRR) ne soit pas intégré dans le permis côtier lorsque l'on observe que les titilaires de se permis ne savent pas utiliser une VHF par manque de connaissances des règles de base de communication impactant sensiblement la securité en mer et le déclenchement des secours. Pourquoi ne pas créer un seul permis réllement utile avec une épreuve pratique de la VHF, du GPS, Navtex, fichiers Gribs... ? En mer les contraintes financières et économiques ne peuvent l'emporter sur la securité des navigateurs et des secours.
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Alain Dupuis
Alain Dupuis
Grand merci pour cette information. J'ignorais totalement cette procédure et tous les détails y afférents. Alain Dupuis
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Alain-marc Goyat
Alain-marc Goyat
Bonjour les radios fervents, Devant la prévision de remise à l'obligation de la VHF à bord des navires de plaisance, Il est évident qu'un moyen VHF soit bien supérieur en matière de sécurité réelle, mais ne pas ignorer les autres, concomitants mais moins contraignants comme le GSM, mais, toutefois, le vrai moyen serait de donner, effectivement, l'obligation de possession d'un émetteur/récepteur VHF, même à moins de 6 milles des côtes ainsi que l'obligation de maintenir celui-ci en veille sur le 16 ... Mais, pour que cette sécurité soit absolue, il faudrait aussi prévoir une répression sévère de tout manquement consistant à trafiquer sur le 16 d'autre chose que la mise en relation très courte pour que le canal reste le seul réellement libre et sûre pour les messages de sécurité ... quand on sait le nombre de trafiquants restants sur le 16 pour parler de tout et de rien, l'amende pourrait même être automatisée par l'enregistrement des échanges avec le MMSI des stations, ce qui serait le plus sûr moyen de convaincre les contrevenants, en les prévenant lors de l'achat et par les moyens habituels gouvernementaux. C'est l'avis d'un technicien de la radioélectricité (un vieux), pas d'un politique qui aurait peur de représailles électorales tellement redoutées, craignant pour sa réélection, que le mien, mais c'est ainsi. Le vieux Tryphon
Jean Frey
Jean Frey
je n m'engagerai pas sur le domaine répressif, même des professionnels de la mer ne veillent peu ou pas le 16 quand ils sont en mer; les pêcheurs par exemple. En tant que professionnel (marine marchande) et plaisancier, je soutiens l'obligation d'avoir une vhf à bord, rien que parce que comparé à un appel GSM, l'appel VHF arrose toute la zone concernée. Une vhf ne coûte pas très cher (une centaine d'euro pour une portable), l'utilisation est simple et ça peut sauver des vies.
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Frédéric Daeschler
Frédéric Daeschler
Bonjour, C'est bien de rappeler, certains plaisanciers étant "encore" ignorant de la chose, l'emport obligatoire des cartes officielles à jour, tout comme la mise à jour des livres des feux (une mise à jour du SHOM par semaine en moyenne). Je voudrais toutefois ajouter que les annuaires des marées sont obligatoires dès la zone "basique". Cordialement,
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Frédéric Pangaud
Frédéric Pangaud
Ne pas oublier les "Chenaux étroits" la règle 9 point b du Ripam. Cas que l'on trouve souvent l'été à la sortie des ports (Les Minimes à La Rochelle notamment) : "Les navires de longueur inférieure à 20 mètres et les navires à voile ne doivent pas gêner le passage des navires qui ne peuvent naviguer en toute sécurité qu'à l'intérieur d'un chenal étroit ou d'une voie d'accès.". Donc on peut naviguer à la voile dans un chenal étroit à condition de ne pas géner les navires qui sont obligés de naviguer dans ce chenal.
Henri Gourmelon
Henri Gourmelon
Avez vous lu les RIPAM ? Pas vu les mots prioritaires , priorités ,....mais privilégié Règle 17 - Manœuvre du navire privilégié. Dans tous les cas le navire privilégié doit manoeuvrer si seul la manoeuvre le l'autre navire ne peut éviter un abordage. Le code Vagnon n'est pas un document officiel...
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Les bateaux au départ du Vendée Globe édition 2020 dans la brume

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Kerguelen au bon plein bâbord amure. Jusque-là tout va bien...

Damien Telle
Damien Telle
jamais eu l'idee de virer? a priori le temps de demarrer le moteur, d'aller chercher la corne de brume, de l'utiliser d'attendre une eventuelle reaction du chalutier.....desole un 35 pieds par force 4 avec le diesel en marche on le vire en qqs secondes, quitte a finir avec le genoi a contre (ca le fera virer encore plus vite d'ailleurs) bref.....
Jp Liaunet
Jp Liaunet
Si vous ne voulez pas être dans ce genre de situation, il ne faut pas s'y mettre. Jamais un chalutier ne pourra me percuter, je donne un large tour, et ce n'est pas au dernier moment que je change de route. Le chalutier, à l'inverse du voilier à une trajectoire prévisible, il suffit de faire route sur son arrière dès qui y a route collision possible et c'est tout. Une histoire comme ça, moi, je ferais profil bas, le simple fait de la raconter démontre la méconnaissance des règles de navigation élémentaires... Deux ans de cours ? C'est votre premier bateau je suppose. Ce genre de message discrédite totalement la navigation de plaisance et les voiliers en particulier. C'est pas à100 mètres d'un bateau qu'il faut changer de route, la sécurité ne vient pas des règles de priorité qui ne sont là que pour régler les litiges devant les tribunaux. La sécurité vient de votre sens marin et il semble que ces deux ans de "formation" ne vous l'ont pas apporté. Premier avertissement sans frais... Bonne chance pour la suite !
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 Mohamed reda benayache
Mohamed reda benayache
merci pour les informations importantes
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 Père plex
Père plex
Trèsb bon
 Benoit massard
Benoit massard
Concernant le point N°3, les caractéristiques attendues par la division 240 concernant le "dispositif de repérage et d'assistance pour personne tombée à l'eau" n'ont pas été modifié. 142N de flottabilité sont attendues. Le harnais présenté n'offre que 98N de flottabilité.
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Ce GC32 rentre en violente collision avec un semi rigide lui ayant coupé la route

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L'Almanach du Marin Breton pour la protection des gens de mer

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