Navigation astronomique
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Ronan Le tellec
Intéressant et étonnant
Daniel Thomas
Belle découverte. Merci
Exercices d'applications 1. Trouver l'heure Fig. 10. Ciel du 24 août 2013, à Gap mais à quelle heure ? Le bas de l'image est ho
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Les skippers naviguent à l'ancienne
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Patrice Flottes
C'est très loin n'est-ce pas 1968 ... De là à dire que l'on employait le loch à bateau (cordage à nœuds et planchette) en vigueur au 19eme siècle, c'est inexact.
Quand on utilise un sextant, en se servant des astres visibles, on fait le point. Quand on navigue à l'estime, on pifomètre le cap moyen suivi ainsi que la distance parcourue.
Pour faire le point au sextant, Les calculs manuels sont assez limités, il y a (et avait) des tables de calculs ou les valeurs sont pré-mâchées.
Le cours de navigation des Glénan existe toujours, saine lecture !
Les formidables aventures de Guillaume de Riantec
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VDH vient de boucler son tour du monde à l'aide d'un sextant
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Christian Tavernier
Bonjour bravo pour la définition très claire mais rien sur le fonctionnement !
Robert Luque
Bien que tombé en désuétude face aux GPS , son usage reste intéressant et nous ramène à une autre époque, pas si ancienne. son usage ne s'improvise pas et et requière un minimum de connaissance en astronomie de position. Tu peux trouver ton bonheur dans des publications spécialisées, ...ou en suivant les cours dans une école de navigation encore en mesure de maîtriser le sujet!
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Pierre Victor
Le titre de l'article est "comment prendre une mesure" et non "comment faire le point" !
C'est un bon début pour celui qui n'a jamais touché un sextant. Pour ceux qui utilise le sextant couramment, OK l'article n'a pas d'intérêt !
Ceci dit combien de personnes ne savent pas "balancer" correctement leur sextant ?
Philippe Péché, nouveau skipper PRB pour la Gloden Globe Race
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Patrick Lorho
Super projet avec un sextant pour la droite de hauteur et autres mesures. N'oubliez pas qu'il existe encore un fabricant de sextants en France. C P I ex Poulin-Blanchet en Normandie.
Jo Duchene
Halte là, c'est une aberration total à mon sens de faire une course pareil dans ces conditions, mais ça n'engage que moi, et nous ne sommes pas au temps de Colomb. Mettre en danger un skipper alors qu'on a les moyens de l'intelligence collective de l'humain et je rajouterait qu'il faudrait la faire cette course minimum en duo. Ok pour éviter l'assistance à terre 24/24 heures, mais revenir à l'astrolabe comme seul technique est démentiel. Quand il y aura un accident regrettable, les organisateurs il faudra qu'ils s’expliquent !