J'irai jusqu'à imbiber de résine polyester l'épaisseur de la coque, surtout s'il s'agit d'une double peau (feutre, balsa, etc.). Attention également au choix du mastic, il doit supporter l’immersion permanente. Je préfère également les sondes amovibles et donc les passe-coques munis d'un bouchon, ce qui permet de faire l'entretien à flot.
Bonjour, il serait temps d'illustrer vos articles avec des photos de personne qui porte des E.P.I. .... Une forme d'exemplarité de votre part serait souhaitable.
Bonjour, je voudrais savoir sur cette photo quelle type de résine à été utilisé ? J'ai actuellement mon bateau qui à une réparation sous coque avec une résine semblable ( coloris ). Ne sachant pas si c'est de l'époxy ou polyester, je ne voudrais pas refaire cette réparation avec les mauvais produits. Si quelqu'un pouvait me renseigner cela serait super. Merci.
Bonjour,
Merci pour cet article.
Ces produits sont-ils fort différents des résines époxy à 2 composants que l'on trouve en GSB tel que https://sader.fr/produits/colle-epoxy-rapide ?
Y a-t-il un tutoriel pour le mélange avec des fibres ?
Tout dépend de la teinte de la coque : à moins de teinter le gelcoat dans la masse, ou de trouver un gelcoat pré-teinté dans le nuancier du fabriquant, il est parfois utile de déposer une couche de peinture en finition...
Petit bémol concernant le contreplaqué. L'appellation "marine" n'est pas réglementée et l'on trouve un peu de tout, épluchez bien les catalogues des fournisseurs, la composition des plis internes et externes et la colle utilisée. Avec un CTBX structurel classe III, tout okoumé, vous ne risquez pas grand chose. Dans les petites épaisseurs, le nombre de plis, qui est censé faire la qualité du "marine", est souvent identique. Seul écart, le "marine" est en épaisseurs impaires (5, 7, 9 mm...) et le CTBX en paires (6, 8, 10 mm...)
Bonjour, oui le principe est le même. Il semble qu'une réparation ait été faite et qu'elle soit à reprendre. Mais difficile d'être catégorique sans voir ce qu'il y a sous la fente du gelcoat. Est-ce juste une éraflure de gelcoat faite un peu trop rapidement ou une réparation plus profonde. Seul le meulage vous le dira. Allez-y doucement au départ ! Bon courage !
RAPPEL !!!!
Article 240-2.14
I. Toute prise d’eau ou décharge située sous la flottaison, y compris à la gîte, est munie d’une vanne de coque,ou d’un dispositif équivalent assujetti en permanence, aisément accessible et rapidement manœuvrable.
(!!! aisément accessible et rapidement manœuvrable !!!)
IV. Les tuyautages reliés à des tuyaux souples sont munis aux deux extrémités de doubles colliers de serrage en matériaux difficilement corrodables.
(!!! doubles colliers de serrage !!!)
VII (...) à bord des voiliers, les tuyauteries des prises d’eau et décharges des toilettes ou de leurs caisses de rétention forment un col de cygne passant au-dessus de la flottaison la plus haute en charge.
(!!! col de cygne !!!)
Merci pour ces remarques pertinentes et les rappels à la législation. Les vannes (prise d'eau et évacuations) restent accessibles. Et pas besoin de col de cygne car les WC sont au-dessus de la flottaison (nous sommes sur un bateau à moteur qui ne gite pas). Seuls les doubles colliers de serrage n'apparaissent pas sur les photos mais sont prévus d'être ajoutés pour la sécurité (problème d'approvisionnement pendant la phase de montage).
