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Manoeuvre de port
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Jean-louis Barbedienne
Conclusion: pour accoster un quai dans un espace exigu avec un pas à droite, mettre bâbord a quai. Avec un pas à gauche mettre tribord à quai.
Jacques Guillemot
sans oublier de jouer avec une garde
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Réussir un mouillage sur coffre peut être source de stress...
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Jean claude Philbois
Le plus simple est d'avoir une longue amarre légèrement lestée et de cravater la bouée. L'amarre se bloque sous la bouée sur la chaine et étant en double, le départ en est facilité. En cas de forte houle c'est la seule solution viable.
Gildas Declercq
je suis intéressé par la solution de "cravater la bouée". en effet le plus dur c'est une prise de bouée par vent un peu fort et là par l'arrière c'est chaud aussi. est ce que bateaux.com peut faire un complément avec photos et retours d'expérience sur cette méthode ?
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Bernard Maitre
Plus le CRR obligatoire
Patrice Flottes
Attention aux zones ou situations d'exclusions des assurances qui sont éminemment variables d'une société à l'autre; suivant les zones géographiques, les périodes de l'année et l'évolution géopolitique des situations (garder un œil sur les zones à risques du ministère des affaires étrangères). Des dérogations peuvent être obtenues (dont la catégorie de navigation du bateau) mais autant se mettre d'accord avant. Autrement dit, éplucher soigneusement les conditions générales ou particulières de son contrat. Plus tous les cas particuliers, stockage à terre en zone cyclonique ou port susceptible de geler, évolution de la piraterie, transport de personnes "avec participation aux frais" etc etc.
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Dominique Delangue
Tout à fait, des ordres précis évitent la confusion. Par contre, on n'a pas pour habitude de crier "à pic" au mouillage car on ne s'entend pas entre l'avant et l'arriere du bateau avec la distance, le bruit du moteur et du vent. On a plutôt usage de faire des signes pour ce type de manoeuvre. Ca va d'ailleurs dans le sens du début de l'article : Une belle manœuvre se fait en silence.
Marina d'Hydra en Grèce
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Jf Charles
Reprendre la tension de chaine pour tendre les aussieres = le meilleur moyen de faire déraper l'ancre !
Eric Duriez
Si elle dérape, c'est qu'il n'y a pas assez de chaine.
Eagle 54
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Arnaud Robert
Ouh là, attention : sujet explosif ! Associer le terme de plaisance à la navigation sur des "bateaux du patrimoine" peut froisser quelque belle âme.
À en croire d'éminent docteur en sociologie, les grands esprits qui, de leurs mains calleuses et brunies au goudron de Novège, mènent les unités de bois massif, brassant les cordages en chanvre qui sifflent sur les poulies de buis, ne sont pas des plaisanciers mais, de leur propre aveu, des "marins traditionnels". Et ça change tout. C'est du moins ce que pensent les gardiens, aux portes du temple.
Et pendant ce temps, dans une harmonie, une maîtrise, un savoir-faire et une connaissance technique des plus rares, Alain Gautier navigue sur son Bélouga à mât en carbone.
Michel Rivière
mon choix va aux mini transat pour naviguer loin "à la mano"
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Bateaux à couple dans la rivière du Bono
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Arrière port du Palais à Belle île en Mer
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Dominique Renaudin
Un truc très utile : le skipper à la barre se mettra dos à la barre en regardant le quai et avec les mains en arrière il sera très facile de diriger le bateau, comme une voiture.
Jean-marie De dianous
Ici toute la manoeuvre se fait l'aide de l'ancre, à 40m minimum du quai ! Je vous y vois dans des ports encombrés.. Vous ne parlez pas de pendilles (parfois doublées), ni de vous aider du vent ou courant pour vous placer dans l'axe du «parking », qui plus est en solo..
Mon conseil: connaissez bien votre bateau et entraînez-vous à faire des manoeuvres en marche arrière quand temps et aire vous avez, par pétole ou brise. Car vous n'aurez pas souvent l'opportunité de mouiller l'ancre ni l'aimable aide de voisins ou badeaux sur le quai...
La manoeuvre est délicate, et toujours un spectacle pour les observateurs. Un plaisir une fois terminée et à quai.