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la boule de mouillage n'est pas obligatoire dans certaines zones hors des chenaux de navigation, ou des zones habituelles de mouillages . Selon le RIPAM, règle n°30, il est stipulé "qu'un navire au mouillage de longueur inférieure à 50 mètres doit montrer, à l'endroit le plus visible, un feu blanc visible sur tout l'horizon ou une boule.Les navires de longueur inférieure à 7 mètres, lorsqu'ils sont au mouillage, ne sont pas tenus de montrer les feux ou la marque (boule), sauf s'ils sont au mouillage dans un chenal étroit, une voie d'accès ou un ancrage, à proximité de ces lieux, ou sur les routes habituellement fréquentées par d'autres navires."
C'est une erreur assez commune de mouiller seulemnt 3 fois la hauteur d'eau. Le minimum recommandé est 5 fois la hauteur d'eau, voire 7 fois si le vent forcit. Cette erreur explique donc pourquoi autant de voiliers dérappent au mouillage dés que le vent monte !
C'est assez logique, plus la longueur est grande, plus l'angle de tenue de l'ancre est fermé donc bonne tenue.
Je rajouterais que le génois n'étant pas bordé immédiatement, il y a un court moment pendant lequel la grand voile est bordée mais pas le génois. La puissance de la GV peut alors faire loffer et provoquer un manque à virer. Pour ma part, je choque un peu la GV en sortie de virement et je la reborde quand le génois porte bien.
C'est vrai en particulier pour les bateaux modernes avec une grande GV et un faible recouvrement.
Tout à fait, des ordres précis évitent la confusion. Par contre, on n'a pas pour habitude de crier "à pic" au mouillage car on ne s'entend pas entre l'avant et l'arriere du bateau avec la distance, le bruit du moteur et du vent. On a plutôt usage de faire des signes pour ce type de manoeuvre. Ca va d'ailleurs dans le sens du début de l'article : Une belle manœuvre se fait en silence.
Que préconisez vous pour faire un marquage "permanent" de la drisse afin de faciliter les prises de ris. Pour ma part, jamais trouver un stylo marqueur résistant aux embruns, ou un tréfilage sur la drisse résistant au passage dans le bloqueur.
Un marquage visible nuit et jour est bien entendu très utile.
Comme la saison de dégolfer n'attends pas que vous ayez des sous pour le pilote , je suis allé jusqu'à Gibraltar ainsi ; il faut juste connaitre son bateau .
Certes le pilote est un allier précieux, mais gourmand en énergie. Les explications fournies dans l'article de Katell sont essentielles à connaître ; mais il existe un outil, passé de mode certes pourtant remarquable : le régulateur d'allure, on ne peut plus sobre en consommation d'électricité..., avec un peu d'investissement et d'entraînement c'est un formidable compagnon.
Vérifier, et non regler le/les safrans (certains bateaux en ont deux)
Il faut surtout veiller a ne pas trainer trop d'algues ou un bout, ligne de peche...