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Pour glander aux Antilles le cata est roi pour naviguer il faut choisir sa météo ou avoir de bons moteurs. Mon 10 ème bateau est un cata pas un voilier, j'ai acheté la paix sociale depuis 3 ans
Pour notre programme de navigation vers la Polynésie nous avons choisi un ORC 50.
Catamaran rapide qui permet de diminuer les temps de traversée et de mieux gérer le routage meteo.
Catamaran à dérives et fardage réduit qui permet de bien remonter au vent même si nous n avons pas choisi l option mât pivotant ( pour des raisons de simplicité)
qui permettrait un gain supplémentaire et nous permet d éviter des remonter au près au moteur.
Catamaran sur si on respecte les plans de voilures selon les conditions de vent et de mer (On n a pas un programme de Course du rhum).
Ces performances nous a permis néanmoins de finir premier des catamarans en temps réel de l
ARC January de 2023 MALOLO autre Orc 50 avait fini 1er de l'Arc de novembre 2022 .
Catamaran simple et fonctionnel pour un équipage réduit à deux et confortable à 6/8 ( bien que nous avons navigué jusqu à 12 avec 4 petits enfants dans les antilles )
Cette simplicité a aussi un retentissement sur son coût qui reste " raisonnable " .
L'absorption du chantier Marsaudon par le groupe Grand Large augmente la sécurité soutient " Mondial ".
Après une transat et deux saisons aux antilles nous sommes toujours très satisfait de notre choix et nous nous préparons à passer dans le Pacifique cette année.
ORC 50 n• 19 TA'I MITI
C'est dans ces endroits que l'on atteint les limites de l'intérêt de la richesse. Si le bateau est trop gros, il ne peut plus accéder au port. La vraie richesse c'est d'avoir un dollar de plus que son beau-frère, ou un mètre de plus à son bateau. Mais si on ne rend pas plus difficile l'acquisition de ces biens d'exception, on est obligé pour satisfaire son égo, d'avoir des bateaux trop grands, et ce n'est pas le champagne de la capitainerie qui compensera cette frustration.
Il y a 50 ans, tout a commencé à bord d’un Écume de Mer.
Pas le mien, mais celui de mon oncle Philippe. Ce petit voilier, premier habitable, a été mon école de la vie et de la mer. À une époque où l’on pouvait encore rentrer à la voile dans le port des Minimes à La Rochelle, j’ai appris à naviguer, à lire les étoiles et à écouter le vent.
Je me souviens des couchettes « cercueil », si inconfortables qu’elles en devenaient presque exotiques, comme celles des pirates dans leurs bannettes. Des quarts de nuit où l’on picolait pour tenir le coup, des réveils avec les premières lueurs du jour, bercé par le clapotis de l’eau.
Ces années furent initiatiques. J’ai découvert non seulement la navigation, mais aussi le partage, l’aventure et cette liberté unique qu’offre la mer. Mon oncle Philippe, tu ne sais peut-être pas à quel point ces moments vécus ensemble m’ont marqué. Ils sont gravés dans ma mémoire comme les meilleurs de ma jeunesse.
À toi, à cet Écume de Mer, et à tous ceux qui transmettent la passion de la voile. Merci
Bonjour ,
Je connais une famille de 4 qui ont vécu à l'année dans un navire de taille semblable et qui ont du attendre l'adolescence des enfants pour changer de navire car les enfants nés à bords s'opposait à un changement de "maison" .
Pour ma part , j'ai vécu 6 ans dans mon 6.50 dont 2 en couple .La mère de mes enfants ne voulais pas en avoir à bord , ce qui fut la cause de l'achat très couteux d'une maison .
Les travaux de rénovation nécessaires , m'ont conduit au burn-out cause du divorce ...
Aucun choix n'est facile a assumer ...