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Des navires qui suscitent le rêve
Si les dériveurs et petits voiliers ont un charme incontestable pour les connaisseurs, il est évident que les grands trois-mâts et autres navires de pirates résonnent plus largement dans l'imaginaire collectif. Et quelle meilleure porte d'entrée vers le monde maritime, avant d'en devenir plus experts ! L'Armada de Rouen, qui draine encore les foules, en est la preuve. La recherche et les navires polaires aussi, à l'image du nouveau Persévérance.
Plaisir parfois coupable, on aime aussi à découvrir par le petit trou du sabord, l'intérieur des yachts de riches propriétaires. Car posséder un grand voilier ou un motoryacht est aussi un rêve dans le gratin, comme pour le défunt Silvio Berlusconi. Libre à chacun de partage ou non ses goûts...
Dépasser ses limites
Mais si pour certains le confort et le luxe font rêver, pour d'autre, naviguer est déjà un luxe qui fait rêver semble inaccessible, à cause de son handicap. La semaine nationale handivoile et handivalide tente de briser cette barrière et rendre le bateau accessible, à l'image du programme du centre nautique de Plougonvelin. Un rêve à faire vivre tout au long de l'année.
Rêver du futur
L'avenir peut sembler angoissant, dans un monde en proie aux enjeux climatiques et à la fin du pétrole, élément clef dans le nautisme d'aujourd'hui. Pour continuer à rêver, le nautisme doit tester de nouvelles voies. Nombreux sont ceux à s'y pencher, à l'image du groupe Bénéteau sur ses Mini 6.50.
Pour rêver au futur, n'oublions pas de rêver des bateaux d'antan, et de naviguer tous ensemble !
