Edito Bateaux
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Jean claude Gouret
Jean claude Gouret
Ile de Brava au sud de l'archipel du Cap Vert, plusieurs fois fréquentée depuis Dakar...
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Certains affichent leur prix, d'autres non...

Michel Foubert
Michel Foubert
C’est juste, un article présenté sans prix sent implicitement l’arnaque. C’est un peu comme si à la demande de prix le vendeur vous répondait ça dépend jusqu’à combien vous pouvez mettre? Lorsque j’étais à la recherche d’un bateau d’occasion je sautais systématiquement les annonces sans prix, aucun intérêt de s’intéresser à une annonce sans savoir si elle correspond à votre budget. Ne pas annoncer le prix signifie que le vendeur en a honte, donc passons notre chemin.
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Spi Ouest France

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De la médaille d'or en Flying Dutchman des frères Pajot au départ de Grain de Sail II

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Combien de vies pour un catboat ?

Patrick Leblanc
Patrick Leblanc
Dommage que l'article fasse si peu de cas du gréement de jonque affiché sur la photo... C'est cette photo qui m'a attiré, étant mpoi-même un afficionado du gréement de jonque. Un peu de déception...
Richard Calabria
Richard Calabria
Pareil que Patrick Leblanc : c'est le gréement de jonque en photo qui m'a attiré... Et las, ça n'était qu'un leurre. Le seul inconvénient de ce gréement est qu'il y a un bon bord (lattes sous le vent) et un mauvais. Inconvénient qui se résout avec deux peaux pour donner une voile épaisse.
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Pierre-maxime Leroy
Pierre-maxime Leroy
Dans la mesure où l'on ne contrôle pas les échanges d'information et qu'en plus on transforme les courses en mer en reality show, c'est ce qu'était le dernier Vendée Globe (ça ne retire pas le courage d'aller seul affronter les Océans), on cumule à la fois, la tentation d'être sur le devant de la scène et la volonté de vouloir obtenir la meilleure position dans la course. Qui en étant fatigué(e), seul(e) pourrait résister à celà? Qui dans une situation difficile n'aurait pas non plus la tentation de demander de l'aide et qui la refuserait? Les questions elles sont plutôt là, une aventure humaine comme le golden globe race et une course d'Ultimes avec une personne dédiée à la médiatisation dans chaque bateau , ou un Vendée Globe où les marins sont OBLIGES de faire du médiatique sont deux choses diamétralement opposée. En plus cette volonté de show business permet d'ajouter de facto des moyens de communications incontrôlables. C'est la même différence entre le Paris-Dakar et les 24 heures du Mans.Dans un cas, il y a un moment ou l'humain est confronté seul à la machine et l'autre ou le pilote est toujours en contact avec son équipe. La différence c'est qu'en mer il n'y a pas d'arrêt au stand et dans le cadre du Vendée Globe tous les marins étaient dans un groupe Whats App. Le terme solitaire devient un peu galvaudé dans ces conditions. Je pense que le plus simple c'est de rester honnête et ne plus présenter le Vendée Globe au même niveau de solitude et d'aventure que la Golden Globe race Les concurrents sont des marins dans les deux cas, mais les uns sont vraiment solitaires les autres ne le sont plus. Une fois de plus quelque chose qui pouvait être un refuge d'aventure humaine a été pourri par l'aspect financier. Et là on ne parle pas de la sélection liée à la nécessité d'investissement dans les navires et les équipements. Le Vendée Globe avec de nombreuses courses en mer se sont hissées... au niveau de course de bagnoles. Heureusement, il y a le Golden globe race qui maintient une certaine tradition maritime solitaire et ça le restera tant qu'on introduira pas une caméra à bord branchée sur une valise satellite.
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Dominique Montesinos
Dominique Montesinos
Alors là Briag, je dis "chapeau". Je trouve ton intervention très courageuse (et probablement aussi très risquée). Mettre, comme ça, le doigt là où ça fait mal, on ne voit pas ça très souvent dans notre monde d'hypocrites où seul le pognon compte. La voile de compétition est bien obligée d'afficher un désir de réduction d'impact sur l'environnement. C'est même le moins qu'elle puisse faire. Par contre, elle a bien envie de se contenter de ce "moins" et qu'on essaie surtout pas de lui en imposer plus. J'aurais bien vu un minimum avec zéro énergie fossile à bord d'un bateau de course... Oui, je sais, c'est très "retro" comme concept. Les plus jeunes seraient même tentés de dire: "c'est impossible". Désolé, mais, j'appartiens à cette poignée de "vieux cons" qui a réalisé cinq transats en course sans électricité et sans moteur. Bon, c'était dans les années 80, mais tout de même, avec tout ce qu'il existe sur le marché aujourd'hui, c'est devenu, au contraire, extrêmement possible, en plus d' être souhaitable. Bref, merci pour ce texte. Je te souhaite le bonjour domimontesinos
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Départ de l'OGR d'Auckland

Pierre Fournier
Pierre Fournier
La problématique est bien posée. Il faut espérer que la réponse qui y sera apportée ira en faveur de la sobriété (durabilité) et de l'aventure. Car c'est ce que le public attend, et ce dont il rêve au travers des milles parcourus. L'augmentation de la vitesse impressionne , bien évidemment, mais la débauche de technologie qu'elle nécessite devient indécente et ne contribue malheureusement pas au rêve. Celui qui le dite le mieux et sait prendre du recul, il me semble, c'est Loïc Péron
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Tim Russ
Tim Russ
Opinion d'un néophyte ayant récemment acquis un voilier : beaucoup de personnes suivent la tendance générale de notre société "tout, tout de suite, à consommer immédiatement" je pense qu'à l'époque on était moins "effrayé" de faire beaucoup de choses soi-même. D'autant que le discours "technocratique" des professionnels est loins d'être avéré dans beaucoup de cas. Bref j'ai 30 ans, pas énormément de fonds et la voile ne me fait pas peur. Peut-être de l'ignorance ?
Etienne Lhermite
Etienne Lhermite
oui notre société est tombée sur la tête, pour moi la navigation a commencée par la construction de mon bateau. que du bonheur et ça a duré plus d'un an Je recommande de faire cette expérience à ceux qui le peuvent
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