Maverick
Le Maverick est ultra polyvalent ! À la fois dériveur, paddle et planche à voile, cet engin de 3,35 m de long se destine autant aux plaisanciers qu'aux écoles de voile. Très large (1,30 m), il offre une très bonne stabilité et son volume offre une très bonne flottabilité. En fonction de ses envies et des conditions, on pourra adapter sa plateforme à diverses utilisations : à la rame comme un paddle, un mât et deux boudins d'assise pour la voile, un safran et une dérive pour une utilisation dériveur, ou encore pour les fans de windsurf, un mât de planche et le tour est joué !
First Yacht 53
Avec ce voilier de 15,98 m, Bénéteau a frappé un grand coup et fait tourner plusieurs têtes. Le chantier vendéen est clairement monté en gamme — tant au niveau des équipements que des finitions — et s'est même offert un spécialiste des bateaux de course de la Coupe de l'America pour l'architecture de son yacht.
Plan de pont à l'Italienne avec des espaces de navigation et de vie séparés, carré confortable et spacieux, mais pensé pour la vie en équipage réduit, version deux ou trois cabines, voici l'univers du luxe pensé par Bénéteau.
Amel 60
Devant le succès de l'Amel 50, lancé en 2017, le constructeur Amel a décidé de proposer un voilier encore plus grand – 18 m — à la demande de propriétaires. Ce modèle conçu pour un couple adepte de la croisière hauturière pourra être facilement mené en équipage réduit. Cockpit central — caractéristique du design des Amel, intérieur contemporain, grande cuisine entièrement équipée, immense cabine propriétaire font de ce bateau un luxueux croiseur pour le voyage.
Spirit 44
Place au tout électrique ! Le Spirit 44 qui verra le jour en 2020 est un élégant voilier au style classique imaginé par le chantier britannique Spirit Yachts. Le concept ? Une unité de 13,4 m de longueur hors-tout, entièrement électrique et sans hydrocarbures à bord. Le Spirit 44 est un mélange des genres entre modernité et classicisme. Francs-bords bas, longue ligne de flottaison, pont flush, boiseries, mais panneaux solaires, saildrive électrique ou encore jeu de voiles solaires répondront au cahier des charges d'un bateau pour une autonomie énergétique quasi totale.
Pogo Foiler
Certes ce n'est pas le premier Mini à foil — Arkema l'était bien avant lui — mais le Pogo Foiler possède le prestigieux ADN de son chantier. Conçu pour Tanguy Bouroullec pour la Mini Transat 2019, ce bateau de 6,50 m a été dessiné par Guillaume Verdier et construit au sein du chantier de Combrit.
Dès 12 nœuds, le bateau vole en s'appuyant sur ses appendices : le foil sous le vent, la quille basculée au vent et le ou les safran(s) à arrière.
Oceanis 30.1
Après le Yacht, l'entrée de gamme ! L'Oceanis 30.1 est le plus petit des Océanis et se destine à une utilisation facile pour un programme de croisière côtière tout étant financièrement accessible. Le chantier a fait appel au cabinet d'architecte Finot-Conq.
Si la carène est volumineuse, le bateau reste esthétique, les designers ayant trouvé les bonnes proportions entre le franc-bord et le roof. Pour être utilisé facilement, l'accastillage est minimaliste, et pour le confort, le cockpit est convivial, l'intérieur est volumineux et lumineux : cuisine, carré avec table centrale, deux cabines.
Sun Loft 47
Changement de registre avec le Sun Loft 47 ! Il n'est plus question ici de navigation intimiste en couple ou entre amis, mais de faire la fête jusqu'à 12 personnes sur un voilier de 13 m. D'ailleurs, ce concept ne s'adresse pas aux plaisanciers, mais bien aux loueurs. L'idée est de proposer une location à la couchette, comme c'est déjà le cas en multicoque. Sous le pont — entièrement dédié au couchage — on retrouve 6 cabines et plusieurs cabinets de toilette.
Sur le pont, l'immense cockpit et le carré sont de plain-pied avec plusieurs tables — qui deviennent des bains de soleil — et une cuisine en enfilade.
Sun Odyssey 410
Le Sun Odyssey 410 — est un voilier de croisière lancé à l'automne 2018 et dessiné par Marc Lombard. Il reprend le concept de "la circulation de pont sans marche" apparue sur les 490 et 440 en 2018, et vise donc une clientèle "tout âge". Il se décline dans différentes configurations d'aménagement : 2 ou 3 cabines et 1 ou 2 salles d'eau ainsi qu'un carré déporté très innovant, qui sont répartis de plain-pied sur tout le bord sans seuil de porte.
Désormais décliné avec une quille relevable (tirant d'eau réduit à 1,37 m), ce croiseur familial offre la possibilité d'accéder à de plus nombreux mouillages ou à certains ports peu profonds.
Befoil
Le Befoil a été imaginé pour permettre aux écoles de voiles de proposer un voilier qui s'élève sur ses foils, accessible à tous les pratiquants. Ce concept de 16 pieds né en 2017 à Lorient a été dessiné par le cabinet VPLP à la demande de Benjamin Magnard qui cherche un catamaran simple, accessible et sécurisant.
Les navigations du prototype montrent que dès 10 nœuds de vents pour un équipage léger (12 nœuds avec 2 adultes), le Befoil décolle si l'on navigue au vent de travers.
Mojito 6.50
Après le lancement du Mini de série, le Maxi 650, le chantier IDB a toujours eu envie de réaliser un voilier de croisière sur cette même base. Ce plan David Raison partage le même moule de coque que son homologue de course ainsi que le fameux rouf panoramique avec ses hublots verticaux signe distinctif d'un Mojito. Ce voilier sera équipé d'une quille relevable.
Côté aménagements, ceux-ci devraient être assez simples. Avec l'étrave scow, le volume intérieur sera proche de celui d'un voilier 8 m. La couchette double à l'avant sera très grande et on devrait retrouver deux couchettes dans le carré qui filent sous le cockpit.