- A partir de 6 000 euros.
- 899 exemplaires de 1985 à 1991
Présenté il y a 30 ans, le Tonic 23 faisait valoir bien avant l'heure de nombreux arguments dans la catégorie des moins de sept mètres : transportable - avec un gros véhicule tracteur tout de même - il abrite tout de même une cabine double arrière, un cabinet de toilettes séparé et une hauteur sous barrots de 1,70 m. La silhouette s'en ressent un peu, mais on a fait bien pire depuis !
Trois grands hublots éclairent le carré susceptible de recevoir cinq personnes dans un niveau de confort digne d'une plus grande unité.
Le plan de pont est fonctionnel et bien pensé mais la carène est sensible au tangage.
Le diagnostic de Bateaux.com
Précurseur, le Tonic 23 est l'une des premières unités de série à privilégier clairement le confort et le volume des aménagements. Une tendance qui perdure encore aujourd'hui… Solide et bien construit, le 23 ne réserve pas de mauvaises surprises. Seuls le moteur hors-bord, les voiles et l'accastillage peuvent être à remplacer.
Les deux versions proposées, quillard et dériveur, ne luttent pas à armes égales sur l'eau, en particulier au près par petit temps (avantage quillard !). Echouage facile ou bon cap au près, à vous de choisir !
« Toujours prêt sur sa remorque pour partir instantanément, le Tonic 23 s'adapte aux différents styles de navigation que l'on aime. »
Publicité Jeanneau
Les avantages
- Volume et confort exceptionnels pour un moins de 7 m
- Vue panoramique depuis l'intérieur
- Cabine arrière
Les inconvénients
- Silhouette un peu lourde
- Traînée du moteur en puits
- Nonchalant par petit temps
Mais que lui manque-t-il ?
Un design plus moderne et une plate-forme arrière.
L'équivalent aujourd'hui ?
Le Maxus 24 EVO, décliné en dériveur intégral et biquille joue dans la même catégorie : transportable tout confort !