Sommeil
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Les skippers du Vendée Globe lors de la formation de sécurité du CEPIM à Crach

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Loic Perron
Loic Perron
pour l'impact environnemental....utiliser 600cv pendant 100 jours... c'est moyen moins
Guy Ribot
Guy Ribot
10 000 miles dans ces conditions, soit au moins 20 000 l de carburant et plus de 40tonnes de CO2 !! : Une compensation est-elle prévue ?
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Catherine Triboulet
Catherine Triboulet
Bonjour, je suis skipper ou devrais-je dire skippette... cet article bien que sympathique provenant de cette femme apprivoisée de Mer et d’Ocean, me fait réagir car à nouveau tellement plein de représentations. Sexiste comme toujours «elle porte un regard féminin sur notre pratique ». Seuls les mecs pratiquent la navigation... il va sans dire. Et puis seule la pratique de ces messieurs en Manche reste périlleuse... j’ai eu la chance de naviguer en Manche, Atlantique, Méditerranée, Mer de Chine, Pacifique... les conditions de toutes les « Mers » peuvent se montrer redoutables... cessons de toujours stigmatiser la Méditerranée comme la bien tranquille ! J’ose dire ici que les femmes savent naviguer et même sans homme pour les commander ! Tout mon amical soutien de Marin ou de Marine... à ces grandes dames solitaires du prochain Vendée Globe. Catherine dit « le Bosco » sur son bateau.
Philippe Arguel
Philippe Arguel
Bonjour, Moi aussi, vous m'avez devancé... Je souhaitais réagir à cette attitude largement répandue consistant à sous-estimer, pour ne pas dire dénigrer, les conditions de navigation en méditerranée. Je m'en tiendrai à un seul exemple vu dans le reportage télévisé sur l'odyssée en méditerranée de Géraldine Danon et Philippe Poupon à bord de leur voilier Fleur Australe. Au départ de Toulon vers la Corse, leur bateau est tout-à-coup bien secoué, la mer est courte, croisée, tout tombe sur les planchers, les embruns rincent abondamment, Poupon est visiblement agacé par cet assaut soudain et, se cramponnant comme elle peut, Géraldine de dire :"Après 18 mois de navigation dans les hautes latitudes, nous n'avons jamais eu un temps comme ça...". Ce n'est pas moi qui le dit.
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Attitude, quelques instants avant de sombrer définitivement

Eric Vuille
Eric Vuille
Nous avons traversé en 2003 en catamaran. Je ne me souviens pas d'autant de tracasseries administratives. Par contre la cartouche de cigarette en guise de backchich est toujours de mise. Nous étions 6 sans radar à bord. Indispensable pour veiller et dormir. La descente jusqu'à Massawa s'est bien passée . Tempête après, il a fallu se mettre à l'abri à la côte, Mont Dudo je crois, un lieu «de pirates» fantastique. Sans problèmes. Puis le Yémen, le moyen âge,prit en otage financièrement, puis Djibouti. Puis 3 semaines jusqu'au Seychelles. 5500 miles depuis l'Espagne !
Thierry Cardinale
Thierry Cardinale
Bonjour Marc j'apprends ton périple, Dès le début du récit nous avons su que c'était toi. Tu es un sacré bon marin, pour t'en être sorti de ces péripéties. Je me souviens des formations où tu nous as mis en confiance dans les règles suivant des états de mer, mais toujours être à l'écoute de son bateau, et des éléments. L'important c'est que tu sois là. J'ai fait passer le message et nous reviendrons vers toi, Bon courage, à bientôt et Marc tiens bon ! Thierry & Valérie
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Usine de Marion du groupe Bénéteau

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Usine de voiliers du groupe Bénéteau

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Chantier CNB à Bordeaux

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Le plaisir de la navigation en famille

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Voiliers Jeanneau construits dans l'usine américaine de Marion

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