Sauvetage en mer
Sauvetage en mer

Donner la possibilité aux autorités d'être aisément contacter en cas d'incident

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Jean-louis Barbedienne
Jean-louis Barbedienne
Une question connexe à ce sujet: En msg "distress" ASN, l'on sait que la position du navire est transmise. Qu'en est-il lors de l'envoi d'un msg "urgency" ?
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Henri Laurent
Henri Laurent
Je suis le développeur des applications SailGrib. Je suis désolé pour "Laurent, le navigateur" mais suis très surpris par cet article. Vous dites "...Navionics Boating HD. Il possède un abonnement pour ce logiciel et a l'habitude de l'utiliser. Cette version de l'application affiche les niveaux d'eau et se paramètre selon le tirant d'eau de son bateau." Je suppose que vous faites allusion au paramètre qui permet de choisir quand afficher des fonds blancs ou bleutés. Ce paramètre s'appelle dans Navionics le "seuil de visibilité des zones de profondeur" et vous pouvez aussi le régler dans SailGrib WR. Enfin, il est regrettable d'attribuer un talonnage à un logiciel. Le skipper est responsable à bord. Les logiciels sont des outils qu'il faut apprendre à maîtriser avant de s'en servir. Vous pouvez me joindre par mail à henri@sailgrib.com s i vous avez des questions. Bien cordialement, Henri
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Daniel charles Delidais
Daniel charles Delidais
Excellent point! à partager
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Kerguelen au bon plein bâbord amure. Jusque-là tout va bien...

Damien Telle
Damien Telle
jamais eu l'idee de virer? a priori le temps de demarrer le moteur, d'aller chercher la corne de brume, de l'utiliser d'attendre une eventuelle reaction du chalutier.....desole un 35 pieds par force 4 avec le diesel en marche on le vire en qqs secondes, quitte a finir avec le genoi a contre (ca le fera virer encore plus vite d'ailleurs) bref.....
Jp Liaunet
Jp Liaunet
Si vous ne voulez pas être dans ce genre de situation, il ne faut pas s'y mettre. Jamais un chalutier ne pourra me percuter, je donne un large tour, et ce n'est pas au dernier moment que je change de route. Le chalutier, à l'inverse du voilier à une trajectoire prévisible, il suffit de faire route sur son arrière dès qui y a route collision possible et c'est tout. Une histoire comme ça, moi, je ferais profil bas, le simple fait de la raconter démontre la méconnaissance des règles de navigation élémentaires... Deux ans de cours ? C'est votre premier bateau je suppose. Ce genre de message discrédite totalement la navigation de plaisance et les voiliers en particulier. C'est pas à100 mètres d'un bateau qu'il faut changer de route, la sécurité ne vient pas des règles de priorité qui ne sont là que pour régler les litiges devant les tribunaux. La sécurité vient de votre sens marin et il semble que ces deux ans de "formation" ne vous l'ont pas apporté. Premier avertissement sans frais... Bonne chance pour la suite !
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Jean-louis Barbedienne
Jean-louis Barbedienne
amicale des Plaisanciers Erquy
Yves Rouzieres
Yves Rouzieres
Bravo pour cette explication simple et dépourvue des tous les non dit mercantiles des vendeurs du yachting.
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Le drone de sauvetage USafe, vainqueur toutes catégories du DAME Award au METS Trade 2019

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Torqeedo en pleine croissance

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P. Lucas
P. Lucas
Le manche est phosphorescent.
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Vedette de sauvetage SNS144

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Philippe Florentin
Philippe Florentin
Pas d’accord sur le principe car l’effet serait particulièrement négatif sur la notion de responsabilité du plaisancier / chef de bord. D’une part, c’est contraire à l’ouverture faite en 2015 par la modernisation de la réglementation (division 240) favorisant prise de conscience du plaisancier. D’autre part les donateurs savent bien qu’ils financent la SNSM pour l’ensemble des activités nautiques sans distinction. C’est pour nous une première marque d’obligatIon morale issue de la solidarité entre gens de mer. Une taxe marquerait un abandon de cette tradition ancestrale... Et c’est bien de cette «Solidarité» que cette époque a le plus besoin. Philippe Florentin florentin.assist@free.fr
Jan Lmarin
Jan Lmarin
D'autant que, s'il y a impôt, les donations dimueront. C'est frustrant aussi de voir que l'inconsequence d'un pêcheur breton se traduit par une taxe...sur les plaisanciers...
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