Récit

Caracara en vol, Puerto Williams.

Jean-philippe Laurentin
Jean-philippe Laurentin
Merci pour ce beau texte. On en apprend décidément beaucoup sur ce bateau et son capitaine. Bien que tous ses amis le défendent (voir les épisodes précédents), il est clair que ce bateau n’avait rien à faire dans cette région et qu’avec un capitaine aussi léger sur la sécurité, la décision de débarquer s’imposait clairement même si elle a dû être difficile à prendre.
Séverine Brancour
Séverine Brancour
Autan les articles précédents étaient intéressants, factuels et techniques, autan ce texte de l'équipière sent le règlement de compte . Elle se contredit , c'est confus, avec des relents d'attaque personnelles. C'est la complainte du pauvre Caliméro, la "mal-aimée" qui a été malmenée et qui n'a pas été considérée à sa juste valeur d'artiste et qui se venge ! Manifestement elle s'est trompé en s'inscrivant à cette croisière où elle s'attendait certainement à un voyage plus "organisé" avec un respect du timing. Ce texte n'apporte pas grand chose pour moi qui ne connait pas les protagonistes de cette histoire. C'est trop lourd et ça finirait presque par discréditer Dominique et Carole... C'est juste le ressenti d'une petite navigatrice .
Ajouter un commentaire...

Hent Ar Gwin, un Sylphe entièrement rénové avec soin.

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Episode 4/8

Katell Les tutos de la croisiere
Katell Les tutos de la croisiere
J'ai connu des skippers et des voiliers à l'image de ce qui est décrit ici. Des marins généreux, expérimentés appréciés et reconnus, comme les commentaires précédents le décrivent. Il n'empêche que trop souvent dans le milieu associatif on s'est habitué à faire avec peu de moyens: système D, main d’œuvre gratuite et plus ou moins qualifiée. Cela permet à des centaines ou milliers de matelots d'apprendre à naviguer à un coût modéré dans une ambiance conviviale. Côté sécurité, on s'habitue à réparer en mer, avec les moyens du bord, et faire durer le matériel jusqu'à la rupture. Cet état d'esprit devient une partie intégrante de l'aventure, soutenue par des valeurs anti-consuméristes. Au final on en arrive à prendre des risques parfaitement évitables, et on passe autant de temps à bricoler qu'à naviguer. Je pense que les responsables associatifs devraient être plus exigeants sur ce point; sinon la législation va se durcir encore et nous perdrons le droit de partager notre passion en dehors des circuits commerciaux.
Erich Delnatte
Erich Delnatte
La sécurité à bord d'un bateau, que ce soit un voilier privé ou professionnel ou un navire à moteur est quelque chose d'impératif. D'ailleurs les TAAF ne s'y trompent pas et sont très exigeantes à ce sujet quand on dépose un dossier pour l'obtention de l'autorisation de naviguer en Antarctique. Tous les skippers qui sillonnent ces eaux sont donc informés et conscients de l'importance de la sécurité à bord et de l'utilité du matériel de sécurité et de son bon entretien. la Cardinale est en tout point conforme à la réglementation et va même plus loin en ajoutant à la liste de l’équipement obligatoire une balise IPRD supplémentaire ainsi que des balises personnelles, des combinaisons TPS et autres trackeur. La lecture de cet épisode sur notre balade dans les eaux du grand continent blanc, la visite de la base de Videla et nos contacts nocturnes avec les growlers est un régal et rappelle d'excellents souvenirs. J'aimerai cependant apporter une petite correction au dernier chapitre et à la perte supposée "d'un petit objet non identifié (qui) se détache de la brassière de sauvetage de Carole"SIC. Les choses ne se sont pas réellement déroulées de la sorte même si j'aime bien l'image et le "Voyons Carole" lancé par le Capitaine ! Encore une fois nos amis journalistes devraient vérifier les faits avant de publier. Voilà donc ma version: je me suis aperçu en manipulant les gilets pour les ranger que quelque chose se déplaçait à l’intérieur de la housse de l'un d'eux. A l'ouverture de celle ci je constate que le système entier de gonflage automatique s'est désolidarisé de l'enveloppe de la bouée, (système HAMMAR à déclenchement hydrostatique). Intrigué je le replace et en le manipulant un peu fermement je me rends compte qu'il se décroche à nouveau. J'en informe le skipper, on vérifie alors scrupuleusement les douze gilets présents à bord (dont les systèmes de gonflage avaient tous été changés avant le départ) pour s'apercevoir que cinq présentent les même symptômes. Ils restent donc sept gilets opérationnel pour six équipiers c'est donc parfait. Que s'est-il donc passé? Les kits de rechange des systèmes de gonflage avaient tous été changés par précaution avant le départ, cinq d'entre eux n’étaient pas conformes au niveau des fixations (petits ergots) sur la bouée! Pourquoi ? Comment ? je ne sais pas ! Et ceci était d'autant plus sournois que l'on arrivait bien à les mettre en place mais que seule une manipulation un peu brutale faisait sauter. Les pièces défectueuses ont été gardées pour réclamation auprès du fournisseur et avoir une explication. A ce jour je n'ai pas le réponse. Cet incident aurait pu avoir de faucheuses conséquences, même si sous ces latitudes les gilets servent plutôt de harnais pour ne pas passer par dessus bord que de système de flottaison . @Katell, je suis pleinement d'accord avec vous sur le fait que commercial ou associatif, nous devons tous être extrêmement vigilant et exigeant sur la sécurité, c'est la liberté de tous qui est en jeu. Mais rassurez vous Katell, les économies de bout de chandelle ne sont pas la philosophie de La Cardinale et je vous invite si d'aventure vous croisez cette belle goélette à vous présenter à bord pour constater par vous même. Pour conclure, et là je m'adresse au journaliste, il est intéressant de relater ce type d'incident si on va jusqu'au bout de l'analyse et qu'on en tire des conclusions qui puissent être utiles à tout le monde. Si c'est pour rester dans le sensationnel, pour rester dans le style article à charge je ne vois pas trop l'utilité.
Ajouter un commentaire...

Episode 2/8 : Gros coup de vent dans le Drake

Yves Milza
Yves Milza
Quand la rédaction de ce site se rendra compte qu'elle laisse s'exprimer des personnes qui ne font que dénigrer le bateau et son Skipper uniquement pour exorciser leur propre peurs et limites qu'ils n'ont pas été capable d'assumer. Il est heureusement rare de voir des équipiers abandonner le bord et encore plus rare de les voir se mettre en avant dans des chroniques a charge avec la complicité qu'il faudra étudier d'un site qui laisse publier sans avoir entendu et vérifier la réalité des faits, c'est grave et j'espère que des suites seront donner a cette cabale. j'invite tous les lecteurs a se faire leur propre opinion et a demander la publication de la réalité de l'histoire ce qui honorerai et grandirai la rédaction dans sa démarche d'information, a moins que ? le silence de celle ci est très étonnant par ailleurs au vu des commentaires des abonnés. Pour ceux que ça intéresserai la C va très bien et a entamée sa traversée du Pacific, elle vient de repartir après une escale a l'ile de Robinson Crusoé avant de continuer vers les Gambiers, il est possible de la suivre sur objectifgrandsud.com rubrique table a carte.

OBJECTIF GRAND SUD

www.objectifgrandsud.com
Jean louis Villain
Jean louis Villain
Je suis surpris effectivement de ce témoignage à charge; pour avoir cotoyé l'un des piliers de cette association, par ailleurs professionnel de la plaisance durant de nombreuses années, maintenant retraité, ces descriptions m'étonnent. J'espère que le site fait un contrôle ou pour le moins laisse l'interpellé répondre à l'interpellateur...
Ajouter un commentaire...

Episode 1/8 : Coup de vent au large du Horn

Alain Briand
Alain Briand
Etonnant ce début d'article où l'on parle d'un embarquement payant alors que les 80 € par jour ne sont qu'une modeste participation au coût d'un telle expédition nourriture comprise. Les voiliers privés qui s'aventurent en Antarctique demandent 300 à 400 € par jour. J'espère que ces Carole et Dominique ne sont pas ceux qui ont abandonnés un équipage en Antarctique en se faisant rapatrié par un Cruiser Ship à suivre.... Alain Briand
Erich Delnatte
Erich Delnatte
Si si il me semble bien que ce soit eux. Mais tu gâches le suspens Alain en dévoilant la fin de l'histoire. Ce sont bien eux qui nous ont abandonné en Antarctique, préférant rentrer en paquebot de croisière plutôt que d’affronter le Drake en retour. Quand ils parlent de mise en danger de la vie d'autrui je pense que c'est à cela qu'ils font allusion: le fait d'avoir laisser un équipage réduit à seulement trois marins ramener le voilier quand eux même se faisait raccompagner en cruise ship. Erich (le E ami de B dont il est question dans l'article)
Ajouter un commentaire...

Jack Puyo
Jack Puyo
Eclairant article.
Guy Crombé
Guy Crombé
Quid de la foudre qui tombe sur le mât ? Cela m'est arrivé en pleine mer. Pas de blessés, mais 50 k€ de dégats, dont un mât qui avait fondu à l'endroit de l'impact. Un très mauvais souvenir...
Ajouter un commentaire...

Arnaud Lecat
Arnaud Lecat
Qu'il est beau ce bateau ! En plus, un propriétaire qui se fait plaisir, c'est super !
Olivier Valverde
Olivier Valverde
pour avoir posséder le N°15, je sais à quel point ce bateau est attachant. Bravo et profitez bien de votre joli jouet.
Ajouter un commentaire...

L Brochard
L Brochard
Connaissez-vous l'ancien nom et l'histoire de ce bateau ? Dites moi ?
Enora Pcn
Enora Pcn
Bonjour, nous connaissons certains aspects, mais il nous manque des pièces du puzzle ! Son nom de baptême est Champagne, il a ete construit par M. Rene Belzon, dans la région de Strasbourg. Il s'est appelé Champagne puis Silence, et enfin Hiva Oa. Vous connaissez ce bateau ?
Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Charly Fernbach
Charly Fernbach
Martin, la classe mini n'autorise pas la cartographie électronique mais seulement un GPS donnant une position géographique que les marins pourront reporter sur une carte papier. C'est un peu archaïque en comparaison du reste de l'équipement électronique disponible à bord et il est d'ailleurs difficile de trouver un GPS sans cartographie sur le marché.
Charly Fernbach
Charly Fernbach
Concernant les problèmes électriques de François, malheureusement selon les panneaux et les batteries, les régulateurs sont quelquefois indispensables. En effet, les panneaux ne délivrent pas forcément la tension capable de recharger les batteries. Parfois, leur tension est largement supérieure au seuil admissible ce qui peut endommager les batteries, d'autres fois la tension est inférieure au seuil capable de recharger. Et enfin, les batteries LI-ion qui équipent ce proto, réclament des précautions particulières afin d'assurer la recharge sans risque d'explosion.
Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Francis Dianin
Francis Dianin
Bravo, belle décision et superbe aventure :) Cela nous trotte dans la tete à nous aussi mais c'est vrai que la marche n'est pas facile à franchir... Merci pour vos nouvelles :)
Michel Rivière
Michel Rivière
Du carburant pour une voilier !!! revenons au 21em siècle Marty McFly
Ajouter un commentaire...

Arnaud Robert
Arnaud Robert
Bravo Alain Thébaut, concentré sur ses "Bubbles", et toujours à vomir sur la France et les Français frileux (parce qu'ils ne l'écoutent pas religieusement), voilà donc qu'il sauve la Planète, mais laisse pourrir l'oeuvre de sa vie (ou la De Dion-Bouton, dixit Loïck Peyron !) dans le Pacifique, comme d'autres le font d'un vieux 420 sur une plage vendéenne (bretonne, normande, picarde, azuréenne, etc...). Manquerait plus qu'il nous fasse la morale sir le tri sélectif ! Ça mérite une enquête plus fouillée, amis jouralistes, non ? Même si l'on devine déjà que le beau parleur trouvera toujours un bon prétexte pour nous dire qu'il n'y est pour rien, que tout ça, c'est la faute des zaut' qui sont rien que des jaloux d'un homme visionnaire qui a eu raison avant tout le monde ! Et pis moi, j'ai le record Calais-Douvres, na !!!!!
François Brillant
François Brillant
Quelle honte ! Quand je pense qu’Alain se targuait de pouvoir vendre son appartement parisien pour sauver le bateau, je découvre que ce n’était que fourberies et mensonges. François
Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...