Caracara en vol, Puerto Williams.
Conseiller
Jean-philippe Laurentin
Merci pour ce beau texte. On en apprend décidément beaucoup sur ce bateau et son capitaine. Bien que tous ses amis le défendent (voir les épisodes précédents), il est clair que ce bateau n’avait rien à faire dans cette région et qu’avec un capitaine aussi léger sur la sécurité, la décision de débarquer s’imposait clairement même si elle a dû être difficile à prendre.
Séverine Brancour
Autan les articles précédents étaient intéressants, factuels et techniques, autan ce texte de l'équipière sent le règlement de compte . Elle se contredit , c'est confus, avec des relents d'attaque personnelles. C'est la complainte du pauvre Caliméro, la "mal-aimée" qui a été malmenée et qui n'a pas été considérée à sa juste valeur d'artiste et qui se venge ! Manifestement elle s'est trompé en s'inscrivant à cette croisière où elle s'attendait certainement à un voyage plus "organisé" avec un respect du timing. Ce texte n'apporte pas grand chose pour moi qui ne connait pas les protagonistes de cette histoire. C'est trop lourd et ça finirait presque par discréditer Dominique et Carole... C'est juste le ressenti d'une petite navigatrice .