J’ai commencé la voile il y a deux ans, à 57 ans, alors que je n’avais jamais fait de bateau de ma vie.
En fait, je suis tombé amoureux d’un voilier de 1968, un Trintella 2 de 9,50 ml, qui était en vente depuis quelques années.
Après mettre rapidement renseigné sur le bateau qui était en bon état, j’ai réussit à trouver une place dans le port et surtout un coach professionnel qui a accepté de me former sur mon bateau.
Nous sommes sortis 5 à 6 fois ensemble à la marée, soit environ 3 heures à chaque fois, j’ai appris les bases et ai pris goût et confiance en moi et dans le bateau…
Et puis un jour, j’ai eu envie de sortir, sans mon coach…je l’ai appelé en lui demandant si c’était bien raisonnable, et il m.a répondu que oui, qu’il attendait que je le lui demande…
Je me suis donc lancé tout seul, avec un stress énorme, surtout pour les manœuvres de désamarrage et de sortie du port…
Cette première sortie s’est très bien passée, j’étais à la fois très heureux et en même temps surpris d’avoir réussit ,
et du coup j’ai enchaîné les sorties en solo pour continuer à me perfectionner…sorties toujours par petite météo, le temps d’une marée, et en restant sur le bassin que je connais.
Mon objectif est maintenant de partir à la journée pour rallier d’autres ports…
Merci à Stéphane, mon coach qui m’a vraiment tout appris…et surtout qui m’a appris que j’ai encore tout à apprendre…
Bonjour
Bien aimé votre article sur Eugène Cornu. Je voudrais toutefois vous faire remarquer que le Bélouga est un dériveur pur, sauf à considérer sa dérive en tôle comme un lest.
J'ai possédé un belouga (N° 558), l'un des peu nombreux gréés en marconi. Cordialement. F.Moysan
nasyoM.F
Si je puis me permettre, j'en aurais rajouté un, le "Micalvi" à Puerto Williams. Après une navigation dans les canaux de Patagonie c'est un vrai bonheur d'y passer quelques heures au chaud à contempler les souvenirs laissés par les bateaux qui nous ont précédé.
