Hiver
Hiver

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Le Salon du Multicoque

Ajouter un commentaire...

Claude Mulcey
Claude Mulcey
fermer les nables afin d'éviter d'avoir de l'eau dans le cockpit lors de la mise à l'eau, et avoir des cales pour bloquer la voiture,et ou la remorque si ça glisse sur le sol
Claude Mulcey
Claude Mulcey
vérifier la limite de la cale de mise à l'eau, si elle s'arrête avec une marche, en surplomb, risque de faire tomber la remorque après
Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Un second tour du monde pour Gipsy Moth IV

Ajouter un commentaire...

Charly Fernbach
Charly Fernbach
Bonjour et merci de votre commentaire intéressant. Pour bien distinguer les deux phénomènes Wikipedia nous éclaire :"Le vent catabatique se distingue des vents de type fœhn qui descendent également la pente. Ces derniers sont le résultat d'un forçage par le vent de l'air par-dessus le relief et sa température au sommet de l'obstacle n'est pas dû à un refroidissement local." Les publications de Météo France sont elles aussi assez claires à ce sujet en précisant à propos du Mistral et de la Tramontane que "les effets de foehn sous les reliefs sont caractéristiques"
Erica Humbert-droz
Erica Humbert-droz
Vous avez dit « tempête » ? Au large de Bastia Je n'oublierai jamais ma première, j'espère la dernière tempête, vécue au large de Bastia. C'était il y a 10 ans, en septembre 2001, avec une équipe « d'avaleurs de Milles », candidats au permis mer. Partant du mouillage de Tamarone près du Cap Corse, nous faisons route au sud, par la côte Est. La météo annonce un vent d'Est dominant force 3, pas de BMS en cours. Tout à coup, à 2-3 milles devant nous, une barre blanche ! Le vent d'Ouest - venant de la montagne - se lève. Nous prenons 3 ris, la voile d'artimon est affalée. L'anémomètre monte en quelques minutes de 10 à 30 nœuds. La barre blanche se rapproche avec un bruit de grondement infernal. La mer se creuse, des vagues de 2-3 mètres très courtes - nous sommes près de la côte, à environ 2 milles au large de Bastia. Le vent forcit encore. Le moteur mis, je demande à Bernard, le second, de mettre en place le tourmentin, ce qu'il fait en quelques minutes en excellent équipier et navigateur ! L'anémomètre en bout de course A présent, le vent est établi à 50, puis 65 nœuds. Sous les rafales, l'aiguille de l'anémomètre est bloquée tout en bas du cadran – elle ne peut aller plus loin, soit environ 80 nœuds ! Vent de travers, nous avons de la peine à tenir notre cap. Que faire ? Il faut prendre une décision. Se mettre en fuite et arriver sur Elbe qui se trouve à 35 milles, de nuit, avec une mer forte au large ? Ou, "tirer des bords" sur 2 milles pour se mettre à l'abri à Bastia ? Je décide de mettre le cap sur Bastia. Au tourmentin seul et, afin de pouvoir passer à travers les plus grosses rafales et vagues, le moteur est poussé à 3000 tours. Le bateau est stabilisé, nous arrivons à faire route en "tirant des bords". Je suis à la barre, Bernard aux écoutes du tourmentin. Devant nous, la mer est blanche. Nous surveillons les vagues et embruns qui nous arrivent dessus avec une force terrible. Les lames blanches déferlent et passent en nous fouettant méchamment. Des bottes plus qu’utiles ! Le restant de l'équipage est enfermé dans le carré. De temps en temps, l'un d'eux ouvre le roof, panneau de la descente : "Vous devriez entendre les bruits, grincements et craquements, est-ce que… ça tiendra le coup?" Je parle au bateau : "Allez, tiens bon! " Je prie "LE Dieu » de service… Aller au WC ? Exclu ! Il ne faut pas y penser. Donc, il y a les bottes ! Chaque virement de bord est calculé et demande une grande concentration pour passer entre deux déferlantes, suivi d'un "ouf" de soulagement et satisfaction complice avec mon second. On avance lentement, mais on avance ! Deux milles et deux heures plus tard… nous arrivons à l'entrée du port. Il s’agit maintenant d’effectuer des manœuvres d'amarrage avec plus de 40 nœuds de vent à l'intérieur du port, et - pourvu qu'il y ait une place, si possible face au vent…! Merci, la Capitainerie ! Non pas sans peine, nous tournons en rond dans le petit avant-port et préparons amarres et pare battages. Puis, surprise : pas une, mais deux annexes viennent à notre rencontre ! C'est la capitainerie qui (me dira-t-elle plus tard), nous a aperçus déjà lorsque nous étions au large et qui vient nous proposer leur aide. Plus tard, toute l'équipe est assise autour d'un "Casa" au bistrot du port. On raconte, les images défilent dans notre esprit… on exprime ce qu'on a ressenti. Des gens qui nous ont suivis depuis la jetée près du phare, posent des questions, nous dévisagent…Nous sourions – même moi, malgré mon visage écarlate et enflé par les embruns ! Il se trouve que plus tard, lorsque je raconte cela, personne ne me croit. On me dit que je me trompe car il n’est pas possible qu’un vent fort d’Ouest crée une mer forte près de Bastia. Seule la capitainerie en est témoin ! 2010, soit 10 ans après. J’ai parcouru des milliers de Milles entre l’Italie, la Turquie, la Tunisie, la Croatie, la Grèce, en Sardaigne - et en Corse. J’ai navigué en moyenne six mois par an, les hivers étaient passés soit en Corse, soit en Turquie. Eh oui, la Méditerranée ! Parfois des candidats au permis mer disaient: « J’ai fait une croisière en Manche ; il y avait 50 nœuds de vent - et des creux de 10 m ! Je viens en Méditerranée pour faire des Milles dans une mer calme « pour touristes » … Le vent se lève, 20, 30 nœuds ; la mer se forme, 2-3 mètres de creux. Et, qui vois-je, m’annonçant avec un visage vert ? Le candidat: Ah non, je débarque, ce n’est pas pour moi ! Ou d’autres encore : « Que j’aimerais donc avoir une tempête – juste pour voir ! » Je ne réponds plus. Car, il n’y a pas vraiment des mots pour décrire et transmettre ce qu’on a vécu ! Erica Humbert-Droz
Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Patrice Flottes
Patrice Flottes
Un peu plus grand que le LUGGER, qui n'a pas de cabine et avec lequel Webb Chiles a "presque" fait le tour du monde dans des conditions que l'on peut imaginer difficiles. Le fait qu'il ne soit pas auto-videur est gênant, même au port ou la seule pluie peut le remplir. Quand il est plein d'eau, il est difficile à vider, l'eau entre par le puits de dérive. Je pense qu'il ne serait pas bien difficile de régler le problème en rehaussant les assises et le fond du cockpit d'autant que le franc-bord manque un peu de hauteur. Pour le prix neuf, effectivement très élevé, cette évolution pourrait être prévue par le chantier. Si vous vous faites livrer depuis l'Angleterre où il est plus facile à trouver, attention aux remorques qui ne correspondent pas au code européen.
Ajouter un commentaire...

Yves Le moal
Yves Le moal
Bonjour, il serait temps d'illustrer vos articles avec des photos de personne qui porte des E.P.I. .... Une forme d'exemplarité de votre part serait souhaitable.
Corinne Kok-levard
Corinne Kok-levard
Bonjour, une petite question: comment vérifier le fonccionement de la pompe de cale?
Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Emmanuel Clochet
Emmanuel Clochet
Bonjour Cette pile à combustible remplace-t-elle un groupe électrogène ? Quelle en serait les avantages et/ou inconvénients ? Merci
François-xavier Ricardou
François-xavier Ricardou
Bonjour Emmanuel, Je vous conseille la lecture entière du sujet et notamment le chapo : "La pile à combustible EFOY est un producteur d'électricité silencieux pour des voiliers de 6 à 15 mètres. Elle va recharger le parc de batteries de servitude comme un mini groupe électrogène, mais sans aucun bruit ni pollution." Vous retrouverez tous les avantages/iconvénients dans le texte. Bonne lecture
Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...