Harnais
Harnais

Patrick Leblanc
Patrick Leblanc
Enfin, enfin une jonque dans ce magazine ! Oh, que nous aimerions en voir plus souvent, nous les "rebelles" qui sommes tombés amoureux de ce gréement, et ne pouvons plus concevoir une autre façon de naviguer ! Pour sa facilité (je barre ma goélette comme un Optimist), sa sécurité (chaque panneau de voile est un ris - 5 à 7 par voile -, que l'on prend ou qu'on largue en quelques secondes depuis le cockpit, sans changer de cap), son aspect économique (pas de haubans ni de coûteux accastillage inox ou carbone), et aussi pour le plaisir de barrer un gréement original qui ne laisse personne indifférent. Allez, quelques recherches sur le web, du côté du site de la JRA ( https://www.junkrigassociation.org/ ) par exemple. Et aucun d'entre nous n'est avare d'explications !
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 Claude mach
Claude mach
merci pour ces précisions trés utile
 Gerard marty
Gerard marty
Merci pour ces informations
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Stephane meteo-formation
Stephane meteo-formation
merci pour cet article; actuellement il me semble difficile de passer à travers un épisode venteux avec des rafales à 60kt
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Jean-bertrand Mothes-massé
Jean-bertrand Mothes-massé
Je ne peux que conseiller à tous les plaisanciers qui font de la haute mer de suivre un stage d'entrainement à la survie, pendant lesquels on traite de tous les éléments de sécurité à prendre en compte, et surtout se familiariser avec ces éléments. Anticiper, comme il est très bien dit dans cet article. Et un coup de vent deviendra un plaisir. Ces stages sont organisés sous l'égide de la Fédération Française de Voile auprès de Centres Spécialisés Habilités. A noter que le niveau de ces stages est celui qui est obligatoire pour les coureurs au large. Stage dits "World Sailing", renseignements jb.mothesmasse@ffvoile.fr
Erica Humbert-droz
Erica Humbert-droz
Un souvenir! Vous avez dit « tempête » ? Au large de Bastia Je n'oublierai jamais ma première, j'espère la dernière tempête, vécue au large de Bastia. C'était il y a 10 ans, en septembre 2001, avec une équipe « d'avaleurs de Milles », candidats au permis mer. Partant du mouillage de Tamarone près du Cap Corse, nous faisons route au sud, par la côte Est. La météo annonce un vent d'Est dominant force 3, pas de BMS en cours. Tout à coup, à 2-3 milles devant nous, une barre blanche! Le vent d'Ouest - venant de la montagne - se lève. Nous prenons 3 ris, la voile d'artimon est affalée. L'anémomètre monte en quelques minutes de 10 à 30 nœuds. La barre blanche se rapproche avec un bruit de grondement infernal. La mer se creuse, des vagues de 2-3 mètres très courtes - nous sommes près de la côte, à environ 2 milles au large de Bastia. Le vent forcit encore. Le moteur mis, je demande à Bernard, le second, de mettre en place le tourmentin, ce qu'il fait en quelques minutes en excellent équipier et navigateur! L'anémomètre en bout de course! A présent, le vent est établi à 50, puis 65 nœuds. Sous les rafales, l'aiguille de l'anémomètre est bloquée tout en bas du cadran – elle ne peut aller plus loin, soit environ 80 nœuds ! Vent de travers, nous avons de la peine à tenir notre cap. Que faire? Il faut prendre une décision. Se mettre en fuite et arriver sur Elbe qui se trouve à 35 milles, de nuit, avec une mer forte au large? Ou, "tirer des bords" sur 2 milles pour se mettre à l'abri à Bastia ? Je décide de mettre le cap sur Bastia. Au tourmentin seul et, afin de pouvoir passer à travers les plus grosses rafales et vagues, le moteur est poussée à 3000 tours. Le bateau est stabilisé, nous arrivons à faire route en "tirant des bords". Je suis à la barre, Bernard aux écoutes du tourmentin. Devant nous, la mer est blanche. Nous surveillons les vagues et embruns qui nous arrivent dessus avec une force terrible. Les lames blanches déferlent et passent en nous fouettant méchamment. Des bottes plus qu'utiles! Le restant de l'équipage est enfermé dans le carré. De temps en temps, l'un d'eux ouvre le roof, panneau de la descente: "Vous devriez entendre les bruits, grincements et craquements, est-ce que… ça tiendra le coup?" Je parle au bateau: "Allez, tiens bon! " Je prie "LE Dieu » de service… Aller au WC ? Exclu! Il ne faut pas y penser. Donc, il y a les bottes! Chaque virement de bord est calculé et demande une grande concentration pour passer entre deux déferlantes, suivi d'un "ouf" de soulagement et satisfaction complice avec mon second. On avance lentement, mais on avance! Deux milles et deux heures plus tard… nous arrivons à l'entrée du port. Il s’agit maintenant d’effectuer des manœuvres d'amarrage avec plus de 40 nœuds de vent à l'intérieur du port, et - pourvu qu'il y ait une place, si possible face au vent…! Merci, la Capitainerie! Non pas sans peine, nous tournons en rond dans le petit avant-port et préparons amarres et pare battages. Puis, surprise: pas une, mais deux annexes viennent à notre rencontre! C'est la capitainerie qui (me dira-t-elle plus tard), nous a aperçus déjà lorsque nous étions au large et qui vient nous proposer leur aide. Plus tard, toute l'équipe est assise autour d'un "Casa" au bistrot du port. On raconte, les images défilent dans notre esprit… on exprime ce qu'on a ressenti. Des gens qui nous ont suivis depuis la jetée près du phare, posent des questions, nous dévisagent…Nous sourions – même moi, malgré mon visage écarlate et enflé par les embruns!! 2010, soit 10 ans après. J’ai parcouru des milliers de Milles entre l’Italie, la Turquie, la Tunisie, la Croatie, la Grèce, en Sardaigne - et en Corse. J’ai navigué en moyenne six mois par an, les hivers passés soit en Corse, soit en Turquie. Eh oui, la Méditerranée! Aujourd’hui, lorsqu’un candidat au permis mer me dit : « J’ai fait une croisière en Manche ; il y avait 50 nœuds de vent - et des creux de 10 m ! Je viens pour faire des Milles dans une mer calme, « pour touristes ! Le vent se lève, 20, 30 nœuds ; la mer se forme, 2-3 mètres de creux. Et, qui vois-je,? Ceux m’annonçant avec un visage vert : Ah non, j'abandonne ! Je veux débarquer. Ce n’est pas pour moi ! Ou d’autres encore : « Que j’aimerais donc avoir une tempête – juste pour voir ! » Je ne réponds plus. Car, il n’y a pas vraiment des mots pour décrire et transmettre ce qu’on a vécu ! Erica Humbert-Droz
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David Adrian
David Adrian
Bonjour, Je voulais vous signaler le kit de plongée sous-marine EAZYDIVE, tout spécialement conçu pour les plaisanciers, d'un concept innovant car il est en basse pression et ne nécessite donc pas de ré-épreuves. Pour un tarif équivalent à ses concurrents, comprend aussi un compresseur qui se branche sur les batteries et permet donc une totale autonomie à bord. Il permet des plongées soit avec une bouteille, en plongée autonome, soit avec un narguilé, jusqu'à une heure de plongée. Tous renseignements et tarifs sur www.eazydive.com
Eazydive, kit de plongée sous-marine basse pression

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www.eazydive.com
Patrice Flottes
Patrice Flottes
Les bouteilles HP doivent être inspectées tous les ans et les centres de ré-épreuve refusent de tester les bouteilles de moins de xl (x variable, de l'ordre de 3l). Dans tous les cas, tout le matériel doit être soigneusement entretenu (compresseur, filtres, flexibles, 1er et deuxième étage détendeur, qualité de l'air comprimé, etc). Passage par une formation dans un centre de plongée très fortement conseillé et veiller à rester dans les limites des prérogatives liées à votre formation. J'ai vu un plongeur sur une civière se faire épingler une amende de 80€ sur la combinaison par la gendarmerie. Les enregistrements sur son ordinateur de plongée montraient qu'il n'avait pas respectées les dites prérogatives.
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On se comprend mieux lorsqu'on parle le même langage

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Volvo Penta remporte le DAME Award 2021

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Le voilier bloqué devant le barrage

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 Eif & gilets de sauvetage, sécurité aquatique .
Eif & gilets de sauvetage, sécurité aquatique .
No comment :( non on ne perd pas son gilet de sauvetage gonflable si il ne comporte pas de sous-cutale c'est que le gilet est mal réglé . le sifflet est obligatoire sur tous les gilets de sauvetage comme les bandes réfléchissantes . ........
 Christophe rouzaire
Christophe rouzaire
Oui le sifflet est obligatoire, mais ce qui est dit ici c'est que celui fourni d'origine avec les gilets est de médiocre qualité et qu'il est conseillé de le changé par un plus puissant
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Marçon Yachting

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Philippe Arguel
Philippe Arguel
Depuis que je navigue, j'ai revu la position de la ligne de vie sur mes bateaux... En effet, en cas de chute, ce qui me paraît primordial est de ne pas passer par-dessus bord (vous imaginez ce que c'est que de vous faire traîner à 7 ou 8 noeuds le long du bordé, d'arracher les filières, les chandeliers, de boire de grosses tasses, etc, etc... et de devoir ensuite remonter sur le bateau ?). Je considère donc que la ligne doit être placée de sorte à me maintenir à bord et, pour cela, elle ne doit pas se trouver au niveau du pont mais bien au-dessus. Pour ma part, je tend une sangle le long de la bôme (une de chaque côté), accessible depuis le cockpit, et m'empêchant de franchir les filières en cas de chute. Ainsi, sa position élevée permet d'enraye la chute plus tôt (on peut utiliser des longes plus courtes) et réduit d'autant les chocs. Certes, on peut aussi se blesser en tombant sur le pont, mais je préfère cela...
Georges-francis Landreau
Georges-francis Landreau
Philippe Arguel, pouvez-vous préciser comment vous fixez les lignes de vie sur la bôme ? Merci.
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L'équipement du marin pour la navigation sur le pont

Bernie Gequi
Bernie Gequi
excellent rappel!
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Dominique Dominique
Dominique Dominique
ça sert à quoi?
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Christian Plateau
Christian Plateau
Eh oui, c'est toujours après un retour "chaud" que se forgent nos expériences.
Benoit Rousseau
Benoit Rousseau
N'aurait-il pas dû larguer sa voile plus tôt tout simplement?
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P. Lucas
P. Lucas
Ce morceau d'objet me fait songer à un feu de route de secours (Plastimo en fait et ils fonctionnent avec une pile LR20) ou bien à un feu à retournement (accroché à la bouée couronne).
Marc Philip
Marc Philip
Il s’agit d’un feu a retournement de bouée fer à cheval. Utilisée pour localiser la bouée en faible visibilité ou la nuit.
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