Je ne vois pas les termes le plus fréquemment rencontrés comme gréement houari ou marconi que certes vous remplacez par des termes tout aussi descriptifs.
Bonjour, je navigue sur un voilier de 7.5m sportif en me débattant avec une voile à corne. Comme le plan d'eau est peuplé et limité en surface, les deux pataras (obligés de par la corne qui ne passe pas en dessous), sont une complexité non négligeable. J'essaie donc de naviguer un max sans les tendre (ils se retrouvent alors proches du mât par sandow).
Au près (serré), pas de souci: l'écoute de gv est tendue, la bôme centrée et l'étai sous tension. Nickel.
A partir que quel angle mât - barres de flèches (poussantes) peut-on estimer avoir un peu de marge avant qu'un mât ne se casse vers l'avant (par vent arrière donc)? L'idée est de tendre le pataras au vent, mais quand faut-il considérer que c'est impérieux ou préférable. Ce n'est pas la même chose lorsqu'on a les mains remplies de lignes et manivelles de winches :-)
Merci!
Bonjour, il serait temps d'illustrer vos articles avec des photos de personne qui porte des E.P.I. .... Une forme d'exemplarité de votre part serait souhaitable.