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Jeanne à l'arrivée de son tour du monde en 2019

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Boris Auche
Boris Auche
Il y a 50 ans, tout a commencé à bord d’un Écume de Mer. Pas le mien, mais celui de mon oncle Philippe. Ce petit voilier, premier habitable, a été mon école de la vie et de la mer. À une époque où l’on pouvait encore rentrer à la voile dans le port des Minimes à La Rochelle, j’ai appris à naviguer, à lire les étoiles et à écouter le vent. Je me souviens des couchettes « cercueil », si inconfortables qu’elles en devenaient presque exotiques, comme celles des pirates dans leurs bannettes. Des quarts de nuit où l’on picolait pour tenir le coup, des réveils avec les premières lueurs du jour, bercé par le clapotis de l’eau. Ces années furent initiatiques. J’ai découvert non seulement la navigation, mais aussi le partage, l’aventure et cette liberté unique qu’offre la mer. Mon oncle Philippe, tu ne sais peut-être pas à quel point ces moments vécus ensemble m’ont marqué. Ils sont gravés dans ma mémoire comme les meilleurs de ma jeunesse. À toi, à cet Écume de Mer, et à tous ceux qui transmettent la passion de la voile. Merci
Michel Rivière
Michel Rivière
Bonjour , Je connais une famille de 4 qui ont vécu à l'année dans un navire de taille semblable et qui ont du attendre l'adolescence des enfants pour changer de navire car les enfants nés à bords s'opposait à un changement de "maison" . Pour ma part , j'ai vécu 6 ans dans mon 6.50 dont 2 en couple .La mère de mes enfants ne voulais pas en avoir à bord , ce qui fut la cause de l'achat très couteux d'une maison . Les travaux de rénovation nécessaires , m'ont conduit au burn-out cause du divorce ... Aucun choix n'est facile a assumer ...
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Guirec Soudée se prête au jeu du selfie Vendée Globe / Vincent Curutchet - Jean-Louis Carli / Alea

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Partie en dernières des pontons, la "chouchoute" comme l'a appelée Alain Leboeuf, descend le chenal sous les vivats de la foule

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Christian Lemasson
Christian Lemasson
Qu'on veuille bien m'expliquer comment on peut naviguer sans alternative de secours en cas de panne d'alimentation électrique des systèmes de navigation. Un compas, ça ne nécessite pas d'alimentation externe. De plus, il faut se rappeler que pendant la guerre du Golfe, les USA (à l'époque seul prestataire GPS) avaient dégradé la base de temps du réseau satellitaire GPS, ce qui induisait, momentanément, des erreurs pouvant aller jusqu'à 110 mètres, pendant des opérations militiares ponctuelles. Seul le GPS différentiel peut résoudre ce genre d'alléas, mais pas partout sur le globe.
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Alexis Marchalot
Alexis Marchalot
Bonjour, qu’est devenu l’IMOCA Aquitaine Innovations d’Yves Parlier ? Après de longues recherches, il s’avère rude de trouver ce qu’est devenu l’IMOCA après s’être baptisé Aquarelle.com !
François-xavier Ricardou
François-xavier Ricardou
il sert à Fabrice Amadeo comme présentoir pour son message ecologique. Il était sur le illage des Sables d'Olonne au déoart du Vendée Globe 2024.
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Robby Naish en action avec son kitesurf sur l'île de Namotu, aux Fidji

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