Erdre
Erdre

Des incendies qui naissent dans les garages de yacht

Ajouter un commentaire...

Sucé-sur Erdre, un haut lieu de la belle plaisance

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Le bassin Lapérouse, un lieu d'escale à ne pas manquer

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Pierrick Roynard
Pierrick Roynard
Ce n'est pas nouveau: dans l'exposition des hélices à Nantes il y a 2 ans, les chantiers Dubigeon avaient déjà pratiqué des trous dans les bords d'hélice il y a environ 80 ans!!!
Ajouter un commentaire...

Jet ski Kawasaki

Ajouter un commentaire...

Brigitte Ferrand
Brigitte Ferrand
Je suis solidaire de cette analyse et des questions qu'elle soulève.
Christian Fardel
Christian Fardel
M Cet article fort bien documenté me détrange car il oublie une chose, peut-etre la plus importante. Cet argent dépensé n'a pas été jeté à la poubelle. Sur cette somme , combien de taxes sont reversées à l'Etat, aux collectivités locales pourvoyeurs d'emplois pérennes ? Combien d'emplois directs ou indirects, meme saisonniers, ont-t-ils été créés .Quel est impact positif industriel et environnemental de la construction de ces machines extraordinaires? Combien d'innovations et d'améliorations ont été produites ? En cette saison économiquement creuse,alors que la déprime touche tout un chacun il serait bon de se demander aussi combien de revenus ont été générés pour des commerces qui font face à des difficultés imprévues et insupportables.. Devrions-nous économiser cet argent , et jeter tous ceux qui en ont bénéficié à la rue ...? Le nautisme en Bretagne, ce sont des millions d'Euros qui maintiennent une industrie formidable pour une région qui , défavorisée, par des facteurs géographiques et logistiques a su rebondir face à la crise pétrolière de 1973 et devenir le phare du nautisme au niveau mondial, grace au courage et à la volonté farouche de ses habitants. Nous redonnez un peu d'espoir avec une approche un peu plus positive., dans votre excellent mag
Ajouter un commentaire...

Jean-bertrand Mothes-massé
Jean-bertrand Mothes-massé
Je ne peux que conseiller à tous les plaisanciers qui font de la haute mer de suivre un stage d'entrainement à la survie, pendant lesquels on traite de tous les éléments de sécurité à prendre en compte, et surtout se familiariser avec ces éléments. Anticiper, comme il est très bien dit dans cet article. Et un coup de vent deviendra un plaisir. Ces stages sont organisés sous l'égide de la Fédération Française de Voile auprès de Centres Spécialisés Habilités. A noter que le niveau de ces stages est celui qui est obligatoire pour les coureurs au large. Stage dits "World Sailing", renseignements jb.mothesmasse@ffvoile.fr
Erica Humbert-droz
Erica Humbert-droz
Un souvenir! Vous avez dit « tempête » ? Au large de Bastia Je n'oublierai jamais ma première, j'espère la dernière tempête, vécue au large de Bastia. C'était il y a 10 ans, en septembre 2001, avec une équipe « d'avaleurs de Milles », candidats au permis mer. Partant du mouillage de Tamarone près du Cap Corse, nous faisons route au sud, par la côte Est. La météo annonce un vent d'Est dominant force 3, pas de BMS en cours. Tout à coup, à 2-3 milles devant nous, une barre blanche! Le vent d'Ouest - venant de la montagne - se lève. Nous prenons 3 ris, la voile d'artimon est affalée. L'anémomètre monte en quelques minutes de 10 à 30 nœuds. La barre blanche se rapproche avec un bruit de grondement infernal. La mer se creuse, des vagues de 2-3 mètres très courtes - nous sommes près de la côte, à environ 2 milles au large de Bastia. Le vent forcit encore. Le moteur mis, je demande à Bernard, le second, de mettre en place le tourmentin, ce qu'il fait en quelques minutes en excellent équipier et navigateur! L'anémomètre en bout de course! A présent, le vent est établi à 50, puis 65 nœuds. Sous les rafales, l'aiguille de l'anémomètre est bloquée tout en bas du cadran – elle ne peut aller plus loin, soit environ 80 nœuds ! Vent de travers, nous avons de la peine à tenir notre cap. Que faire? Il faut prendre une décision. Se mettre en fuite et arriver sur Elbe qui se trouve à 35 milles, de nuit, avec une mer forte au large? Ou, "tirer des bords" sur 2 milles pour se mettre à l'abri à Bastia ? Je décide de mettre le cap sur Bastia. Au tourmentin seul et, afin de pouvoir passer à travers les plus grosses rafales et vagues, le moteur est poussée à 3000 tours. Le bateau est stabilisé, nous arrivons à faire route en "tirant des bords". Je suis à la barre, Bernard aux écoutes du tourmentin. Devant nous, la mer est blanche. Nous surveillons les vagues et embruns qui nous arrivent dessus avec une force terrible. Les lames blanches déferlent et passent en nous fouettant méchamment. Des bottes plus qu'utiles! Le restant de l'équipage est enfermé dans le carré. De temps en temps, l'un d'eux ouvre le roof, panneau de la descente: "Vous devriez entendre les bruits, grincements et craquements, est-ce que… ça tiendra le coup?" Je parle au bateau: "Allez, tiens bon! " Je prie "LE Dieu » de service… Aller au WC ? Exclu! Il ne faut pas y penser. Donc, il y a les bottes! Chaque virement de bord est calculé et demande une grande concentration pour passer entre deux déferlantes, suivi d'un "ouf" de soulagement et satisfaction complice avec mon second. On avance lentement, mais on avance! Deux milles et deux heures plus tard… nous arrivons à l'entrée du port. Il s’agit maintenant d’effectuer des manœuvres d'amarrage avec plus de 40 nœuds de vent à l'intérieur du port, et - pourvu qu'il y ait une place, si possible face au vent…! Merci, la Capitainerie! Non pas sans peine, nous tournons en rond dans le petit avant-port et préparons amarres et pare battages. Puis, surprise: pas une, mais deux annexes viennent à notre rencontre! C'est la capitainerie qui (me dira-t-elle plus tard), nous a aperçus déjà lorsque nous étions au large et qui vient nous proposer leur aide. Plus tard, toute l'équipe est assise autour d'un "Casa" au bistrot du port. On raconte, les images défilent dans notre esprit… on exprime ce qu'on a ressenti. Des gens qui nous ont suivis depuis la jetée près du phare, posent des questions, nous dévisagent…Nous sourions – même moi, malgré mon visage écarlate et enflé par les embruns!! 2010, soit 10 ans après. J’ai parcouru des milliers de Milles entre l’Italie, la Turquie, la Tunisie, la Croatie, la Grèce, en Sardaigne - et en Corse. J’ai navigué en moyenne six mois par an, les hivers passés soit en Corse, soit en Turquie. Eh oui, la Méditerranée! Aujourd’hui, lorsqu’un candidat au permis mer me dit : « J’ai fait une croisière en Manche ; il y avait 50 nœuds de vent - et des creux de 10 m ! Je viens pour faire des Milles dans une mer calme, « pour touristes ! Le vent se lève, 20, 30 nœuds ; la mer se forme, 2-3 mètres de creux. Et, qui vois-je,? Ceux m’annonçant avec un visage vert : Ah non, j'abandonne ! Je veux débarquer. Ce n’est pas pour moi ! Ou d’autres encore : « Que j’aimerais donc avoir une tempête – juste pour voir ! » Je ne réponds plus. Car, il n’y a pas vraiment des mots pour décrire et transmettre ce qu’on a vécu ! Erica Humbert-Droz
Ajouter un commentaire...

Alan Roura à la barre de Hublot

Ajouter un commentaire...

Ajouter un commentaire...

Quentin Vlamynck sur son Ocean Fifty Arkema

Ajouter un commentaire...

Carnet de maintenance

Ajouter un commentaire...

ACE 30 d'Atelier Interface

Ajouter un commentaire...

Quelques heures pour passer un nouveau câble dans le balcon

Eric Boidin
Eric Boidin
Au départ du câble, j'installe une noix de graisse.
Ajouter un commentaire...

Navigation de l'Ecosse à l'Ouest de l'Irlande

Ajouter un commentaire...

Diogene, un Trisbal 36, en navigation

Ajouter un commentaire...

Prenez le temps de réfléchir au chantier

Jean christophe Blondeau
Jean christophe Blondeau
Merci, je viens de commencer un projet de rénovation. Ces informations me sont très utiles.
Patrice Flottes
Patrice Flottes
Petit bémol concernant le contreplaqué. L'appellation "marine" n'est pas réglementée et l'on trouve un peu de tout, épluchez bien les catalogues des fournisseurs, la composition des plis internes et externes et la colle utilisée. Avec un CTBX structurel classe III, tout okoumé, vous ne risquez pas grand chose. Dans les petites épaisseurs, le nombre de plis, qui est censé faire la qualité du "marine", est souvent identique. Seul écart, le "marine" est en épaisseurs impaires (5, 7, 9 mm...) et le CTBX en paires (6, 8, 10 mm...)
Ajouter un commentaire...

Tempête en Corse en 2022

Ajouter un commentaire...