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Il y a 50 ans, tout a commencé à bord d’un Écume de Mer.
Pas le mien, mais celui de mon oncle Philippe. Ce petit voilier, premier habitable, a été mon école de la vie et de la mer. À une époque où l’on pouvait encore rentrer à la voile dans le port des Minimes à La Rochelle, j’ai appris à naviguer, à lire les étoiles et à écouter le vent.
Je me souviens des couchettes « cercueil », si inconfortables qu’elles en devenaient presque exotiques, comme celles des pirates dans leurs bannettes. Des quarts de nuit où l’on picolait pour tenir le coup, des réveils avec les premières lueurs du jour, bercé par le clapotis de l’eau.
Ces années furent initiatiques. J’ai découvert non seulement la navigation, mais aussi le partage, l’aventure et cette liberté unique qu’offre la mer. Mon oncle Philippe, tu ne sais peut-être pas à quel point ces moments vécus ensemble m’ont marqué. Ils sont gravés dans ma mémoire comme les meilleurs de ma jeunesse.
À toi, à cet Écume de Mer, et à tous ceux qui transmettent la passion de la voile. Merci
Bonjour ,
Je connais une famille de 4 qui ont vécu à l'année dans un navire de taille semblable et qui ont du attendre l'adolescence des enfants pour changer de navire car les enfants nés à bords s'opposait à un changement de "maison" .
Pour ma part , j'ai vécu 6 ans dans mon 6.50 dont 2 en couple .La mère de mes enfants ne voulais pas en avoir à bord , ce qui fut la cause de l'achat très couteux d'une maison .
Les travaux de rénovation nécessaires , m'ont conduit au burn-out cause du divorce ...
Aucun choix n'est facile a assumer ...
Il m'est arrivé à peu près la même histoire avec des Arpèges (je fais partie de Passe-Coque) Je pourrai vous en dire un mot si vous voulez. En attendant, le récit sur les Ecumes est magnifiquement écrit
Il m'est arrivé à peu près la même histoire avec des Arpèges (je fais partie de Passe-Coque). Je pourrai vous en dire un mot si vous voulez. En attendant, ce récit sur les Ecumes est magnifiquement écrit.
Dommage que l'article fasse si peu de cas du gréement de jonque affiché sur la photo... C'est cette photo qui m'a attiré, étant mpoi-même un afficionado du gréement de jonque. Un peu de déception...
Pareil que Patrick Leblanc : c'est le gréement de jonque en photo qui m'a attiré... Et las, ça n'était qu'un leurre.
Le seul inconvénient de ce gréement est qu'il y a un bon bord (lattes sous le vent) et un mauvais. Inconvénient qui se résout avec deux peaux pour donner une voile épaisse.
Belle histoire et pourvu qu'elle dure longtemps ! Le récit ne dit cependant pas combien de temps ce muscadet a passé sur sa remorque et sous hangar. Attention aux embarcations en bois "moderne", contreplaqué ou bois moulé qui peuvent très mal évoluer s'ils ne sont pas stockés à l'abri (notamment de la pluie). L'état de Pen Duick II ou de Damien avant rénovation n'était pas très reluisant. Quand aux boulons de quille ou axe de dérive en bonne ferraille, galvanisée ou pas et parfaitement indémontables, je vous laisse juge.
Idem pour mon proto 6.5 en CP acquis en 1999 ; ce sont des bateaux facile a assumer , avec de belles capacité de navigation ; je rêve de retourner en Espagne avec le mien ; mais mon fils est déjà assez aguerri pour faire Fouras -l'Ile d'yeux d'une traite ; prochain défi : Fouras- Belle-Ile ...
bonjour, j'aimerais avoir une estimation du nombre d'heures nécessaire uniquement pour sortir et remettre en place le moteur après réparation, amicalement JPB