Course autour du monde
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Dominique Montesinos
Dominique Montesinos
Alors là Briag, je dis "chapeau". Je trouve ton intervention très courageuse (et probablement aussi très risquée). Mettre, comme ça, le doigt là où ça fait mal, on ne voit pas ça très souvent dans notre monde d'hypocrites où seul le pognon compte. La voile de compétition est bien obligée d'afficher un désir de réduction d'impact sur l'environnement. C'est même le moins qu'elle puisse faire. Par contre, elle a bien envie de se contenter de ce "moins" et qu'on essaie surtout pas de lui en imposer plus. J'aurais bien vu un minimum avec zéro énergie fossile à bord d'un bateau de course... Oui, je sais, c'est très "retro" comme concept. Les plus jeunes seraient même tentés de dire: "c'est impossible". Désolé, mais, j'appartiens à cette poignée de "vieux cons" qui a réalisé cinq transats en course sans électricité et sans moteur. Bon, c'était dans les années 80, mais tout de même, avec tout ce qu'il existe sur le marché aujourd'hui, c'est devenu, au contraire, extrêmement possible, en plus d' être souhaitable. Bref, merci pour ce texte. Je te souhaite le bonjour domimontesinos
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Jean-gabriel Barrault
Jean-gabriel Barrault
surtout, fais comme Bernard, mets des lignes de vie de l'arrière à l'avant (Copié sur Corsen, mon bateau, cité ds la longue Route)
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Greenscow 40

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Voiliers prêts à prendre le départ de l'Ocean Globe Race (à gauche Pen Duick VI)

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Olivier Joly
Olivier Joly
Merci pour votre article. Cependant, vous n'êtes pas très convainquant, sans doute par un manque de pratique.
Patrice Flottes
Patrice Flottes
La pelle des pendulaires ne sert pas à freiner l'aérien, elle pivote dans l'eau et fournit la puissance pour agir sur la barre. Marin Marie avait un régulateur d'allure, sans doute s'était-il inspiré d' un modèle antérieur, ce qui remonte bien avant Gipsy moth.
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Patrick Leblanc
Patrick Leblanc
Enfin, enfin une jonque dans ce magazine ! Oh, que nous aimerions en voir plus souvent, nous les "rebelles" qui sommes tombés amoureux de ce gréement, et ne pouvons plus concevoir une autre façon de naviguer ! Pour sa facilité (je barre ma goélette comme un Optimist), sa sécurité (chaque panneau de voile est un ris - 5 à 7 par voile -, que l'on prend ou qu'on largue en quelques secondes depuis le cockpit, sans changer de cap), son aspect économique (pas de haubans ni de coûteux accastillage inox ou carbone), et aussi pour le plaisir de barrer un gréement original qui ne laisse personne indifférent. Allez, quelques recherches sur le web, du côté du site de la JRA ( https://www.junkrigassociation.org/ ) par exemple. Et aucun d'entre nous n'est avare d'explications !
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