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Anglet
Pirate des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl
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Fondé il y a sept ans par Matthieu Heilmann, le chantier du Crapaud s'est imposé comme une escale appréciée au pays des abers
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Reconstitution d'un bateau de peau
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Raoul Lemercier
Lire et relire le magnifique Dictionnaire de la mer de Jean Merrien
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Cédric Nicoletti
Si elle le donne, je serai intéressé.
Jf Charles
Voici la preuve, une fois de plus, que les "Zautorités" , au lieu d'etre aidantes et de "servir" , sont un écueil parfois incontournable sur lequel se fracassent tant de bonnes volontés. Ah, si seulement... !
Lola of Skagen
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Rendu 3D d'un bateau obtenu suite au traitement des données par relevé photogrammétrique
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Yann Venance
Sur St Mary's, la plus grande des îles Scilly, près du slipway de la Royal National Lifeboat Institution, on peut découvrir un petit musée qui répertorie toutes les interventions des secours en mer réalisées depuis le 20e siècle.
Laurent David
En France, la construction de canots de sauvetage a commencé
sérieusement à partir de 1866, lorsqu'une commission instituée par le
ministre de la marine a choisi le canot Peake de 9,78m. du RNLI dont une
cinquantaine d'unités ont été fournis entre 1866 et 1897 par Forrest
and sons (Londre), les chantiers Augustin-Normand (le Havre) et les
Forges et Chantiers de la Méditerranée (la Ciotat). Les Chantiers
Augustin-Normand s'imposeront ensuite comme le principal constructeur
français de canot de sauvetage en fournissant, entre 1866 et 1962, 162
canots de 6,50m a 13,60m, pour la plupart, dérivés des canots Peake mais
plus grands et très améliorés.
cf. :
et : https://kbcpenmarch.franceserv.com/les-chantiers-navals-augustin-normand.html
Canots de sauvetage à avirons et leurs chariots
Canots de sauvetage à avirons et leurs chariots. Plans avec photos et explications.
kbcpenmarch.franceserv.com| par Jean-Louis GUEGADEN
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Patrice Flottes
Un peu plus grand que le LUGGER, qui n'a pas de cabine et avec lequel Webb Chiles a "presque" fait le tour du monde dans des conditions que l'on peut imaginer difficiles. Le fait qu'il ne soit pas auto-videur est gênant, même au port ou la seule pluie peut le remplir. Quand il est plein d'eau, il est difficile à vider, l'eau entre par le puits de dérive.
Je pense qu'il ne serait pas bien difficile de régler le problème en rehaussant les assises et le fond du cockpit d'autant que le franc-bord manque un peu de hauteur. Pour le prix neuf, effectivement très élevé, cette évolution pourrait être prévue par le chantier. Si vous vous faites livrer depuis l'Angleterre où il est plus facile à trouver, attention aux remorques qui ne correspondent pas au code européen.