Caracara en vol, Puerto Williams.
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Actualités - Trireme 50 B
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Jean-philippe Laurentin
Merci pour ce beau texte. On en apprend décidément beaucoup sur ce bateau et son capitaine. Bien que tous ses amis le défendent (voir les épisodes précédents), il est clair que ce bateau n’avait rien à faire dans cette région et qu’avec un capitaine aussi léger sur la sécurité, la décision de débarquer s’imposait clairement même si elle a dû être difficile à prendre.
Séverine Brancour
Autan les articles précédents étaient intéressants, factuels et techniques, autan ce texte de l'équipière sent le règlement de compte . Elle se contredit , c'est confus, avec des relents d'attaque personnelles. C'est la complainte du pauvre Caliméro, la "mal-aimée" qui a été malmenée et qui n'a pas été considérée à sa juste valeur d'artiste et qui se venge ! Manifestement elle s'est trompé en s'inscrivant à cette croisière où elle s'attendait certainement à un voyage plus "organisé" avec un respect du timing. Ce texte n'apporte pas grand chose pour moi qui ne connait pas les protagonistes de cette histoire. C'est trop lourd et ça finirait presque par discréditer Dominique et Carole... C'est juste le ressenti d'une petite navigatrice .
Episode 8/8, après l'échouement, perte de confiance dans le bateau
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Erich Delnatte
A bon ? La rédaction a pris contact avec un autre équipier !? Très bien, mais... un équipier qui a égoïstement abandonné le bateau avec Dominique et Carole ou équipier qui est resté à bord, solidaire du "capitaine et son épouse" pour ne pas les laisser risquer de mettre leur vie en danger en ramenant en équipage réduit une goélette de 50 pieds ? Ce serait aussi intéressant de développer le coté valeur humaine, solidarité d'un équipage soudé devant l'adversité versus le coté consommateur ...
Daniel Enjolet
bonjour,
Je comprends que l'incertitude incite à la prudence. C'est légitime. Il y avait deux problèmes: le moteur et sa réserve de gasoïl et la quille. Hormis l'absence surprenante de vérifications, que la quille soit remplie de gasoil ou d'eau est-ce une grande différence?
Episode 7/8, une grosse voie d'eau d'eau apparait dans le bateau en antarctique
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Philippe Boennec
Je suis navré après la lecture de ces articles en épisodes sur un bateau et un capitaine de mer que je connais aussi. Les photos sont cependant très belles, les articles sont bien écrits mais le fond est moche.Moche intellectuellement, moche humainement! J'ai croisé Carole et Dominique sur la Cardinale autour d'un verre de Pisco préparé par le Capitaine.Je ne les connais pas. Juste le temps d'une demi soirée et au revoir. Cependant, je me souviens de l'ambiance, je peux dire que ce soir là à bord de La Cardinale, elle était "copain", voire "frère" des latitudes sud. C'est triste de lire maintenant de tels propos venant de ces mêmes personnes avec comme objectif de nuire à l'intégrité de marin du CapitaineLe capitaine que je connais depuis maintenant plusieurs années a toute mon estime, mon respect et ma confiance.Nous sommes restés 3 semaines avec ma compagne à bord de LC: 3 semaines de bonheur de naviguer sur le Beagle, dans la baie de Nassau et au Cap Horn, et de plaisir de découvrir ces espaces loin de tout. J'ai le plaisir de vous assurer qu'à aucun moment je me suis senti en danger sur la goélette. Je le remercie ainsi que mon ami Philippe de nous avoir invité à ce grand moment de navigation.Il y avait bien une belle caisse à outils à bord mais excepté pour casser les pattes des crabes ou la glace pour le Pisco, nous n'en avons pas eu l'utilité. Préposé au guindeau soir et matin, je n'ai pas souvenir de panne et de coup de marteau à donner pour décoller des charbons récalcitrants, etc. etc.
Bref, j'en conclue que lorsqu'on s'approche de la lumière on devient une cible! Continues à faire ce que tu aimes et sais faire Capitaine avec ton voilier, c'est trop chouette. Fais naviguer des amis avec qui tu partages les mêmes valeurs humaines.C'est plus sur!
JEAN MONTAVILLE
Episode 6/8 sur cette découverte de l'Antarctique en Voilier
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Episode 5/8
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Episode 4/8
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Katell Les tutos de la croisiere
J'ai connu des skippers et des voiliers à l'image de ce qui est décrit ici. Des marins généreux, expérimentés appréciés et reconnus, comme les commentaires précédents le décrivent. Il n'empêche que trop souvent dans le milieu associatif on s'est habitué à faire avec peu de moyens: système D, main d’œuvre gratuite et plus ou moins qualifiée. Cela permet à des centaines ou milliers de matelots d'apprendre à naviguer à un coût modéré dans une ambiance conviviale. Côté sécurité, on s'habitue à réparer en mer, avec les moyens du bord, et faire durer le matériel jusqu'à la rupture. Cet état d'esprit devient une partie intégrante de l'aventure, soutenue par des valeurs anti-consuméristes. Au final on en arrive à prendre des risques parfaitement évitables, et on passe autant de temps à bricoler qu'à naviguer. Je pense que les responsables associatifs devraient être plus exigeants sur ce point; sinon la législation va se durcir encore et nous perdrons le droit de partager notre passion en dehors des circuits commerciaux.
Erich Delnatte
La sécurité à bord d'un bateau, que ce soit un voilier privé ou professionnel ou un navire à moteur est quelque chose d'impératif. D'ailleurs les TAAF ne s'y trompent pas et sont très exigeantes à ce sujet quand on dépose un dossier pour l'obtention de l'autorisation de naviguer en Antarctique. Tous les skippers qui sillonnent ces eaux sont donc informés et conscients de l'importance de la sécurité à bord et de l'utilité du matériel de sécurité et de son bon entretien. la Cardinale est en tout point conforme à la réglementation et va même plus loin en ajoutant à la liste de l’équipement obligatoire une balise IPRD supplémentaire ainsi que des balises personnelles, des combinaisons TPS et autres trackeur. La lecture de cet épisode sur notre balade dans les eaux du grand continent blanc, la visite de la base de Videla et nos contacts nocturnes avec les growlers est un régal et rappelle d'excellents souvenirs. J'aimerai cependant apporter une petite correction au dernier chapitre et à la perte supposée "d'un petit objet non identifié (qui) se détache de la brassière de sauvetage de Carole"SIC. Les choses ne se sont pas réellement déroulées de la sorte même si j'aime bien l'image et le "Voyons Carole" lancé par le Capitaine ! Encore une fois nos amis journalistes devraient vérifier les faits avant de publier. Voilà donc ma version: je me suis aperçu en manipulant les gilets pour les ranger que quelque chose se déplaçait à l’intérieur de la housse de l'un d'eux. A l'ouverture de celle ci je constate que le système entier de gonflage automatique s'est désolidarisé de l'enveloppe de la bouée, (système HAMMAR à déclenchement hydrostatique). Intrigué je le replace et en le manipulant un peu fermement je me rends compte qu'il se décroche à nouveau. J'en informe le skipper, on vérifie alors scrupuleusement les douze gilets présents à bord (dont les systèmes de gonflage avaient tous été changés avant le départ) pour s'apercevoir que cinq présentent les même symptômes. Ils restent donc sept gilets opérationnel pour six équipiers c'est donc parfait. Que s'est-il donc passé? Les kits de rechange des systèmes de gonflage avaient tous été changés par précaution avant le départ, cinq d'entre eux n’étaient pas conformes au niveau des fixations (petits ergots) sur la bouée! Pourquoi ? Comment ? je ne sais pas ! Et ceci était d'autant plus sournois que l'on arrivait bien à les mettre en place mais que seule une manipulation un peu brutale faisait sauter. Les pièces défectueuses ont été gardées pour réclamation auprès du fournisseur et avoir une explication. A ce jour je n'ai pas le réponse.
Cet incident aurait pu avoir de faucheuses conséquences, même si sous ces latitudes les gilets servent plutôt de harnais pour ne pas passer par dessus bord que de système de flottaison .
@Katell, je suis pleinement d'accord avec vous sur le fait que commercial ou associatif, nous devons tous être extrêmement vigilant et exigeant sur la sécurité, c'est la liberté de tous qui est en jeu. Mais rassurez vous Katell, les économies de bout de chandelle ne sont pas la philosophie de La Cardinale et je vous invite si d'aventure vous croisez cette belle goélette à vous présenter à bord pour constater par vous même.
Pour conclure, et là je m'adresse au journaliste, il est intéressant de relater ce type d'incident si on va jusqu'au bout de l'analyse et qu'on en tire des conclusions qui puissent être utiles à tout le monde. Si c'est pour rester dans le sensationnel, pour rester dans le style article à charge je ne vois pas trop l'utilité.
Episode 3/8 : Arrivée à Deception Island
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Pascal Analu
Au vu des commentaires sous les articles précédents de cette aventure, je suis extrêmement choqué par l'attitude de bateaux.com.
Je ne sais absolument pas qui dit la vérité, mais face aux doutes émis par les différents témoignages totalement contradictoire de cette aventure; la moindre des décences journalistiques serait (au minimum) de mettre un encart d'avertissement sur le fait que les points de vues semblent diverger (et un droit de retour de l'équipage mis en cause serait également la moindre des choses, comme le fait tout journaliste qui se respecte)
Et je tiens à préciser que je ne connais personne dans cette histoire et que c'est la première fois de ma vie que je me permets de commenter un article; mais je suis tellement abasourdie par vos manières (et à mon avis je ne dois pas être le seul)
C'est une honte
Laurent Bouquet des chaux
Ou le journaliste à fait bien son travail et les commentaires sont parties intégrantes du récit ! Je reconnais là un excellent teasing qui me pousse à revenir sur le site, lire la suite !
Episode 2/8 : Gros coup de vent dans le Drake
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Yves Milza
Quand la rédaction de ce site se rendra compte qu'elle laisse s'exprimer des personnes qui ne font que dénigrer le bateau et son Skipper uniquement pour exorciser leur propre peurs et limites qu'ils n'ont pas été capable d'assumer.
Il est heureusement rare de voir des équipiers abandonner le bord et encore plus rare de les voir se mettre en avant dans des chroniques a charge avec la complicité qu'il faudra étudier d'un site qui laisse publier sans avoir entendu et vérifier la réalité des faits, c'est grave et j'espère que des suites seront donner a cette cabale.
j'invite tous les lecteurs a se faire leur propre opinion et a demander la publication de la réalité de l'histoire ce qui honorerai et grandirai la rédaction dans sa démarche d'information, a moins que ?
le silence de celle ci est très étonnant par ailleurs au vu des commentaires des abonnés.
Pour ceux que ça intéresserai la C va très bien et a entamée sa traversée du Pacific, elle vient de repartir après une escale a l'ile de Robinson Crusoé avant de continuer vers les Gambiers, il est possible de la suivre sur objectifgrandsud.com rubrique table a carte.
OBJECTIF GRAND SUD
www.objectifgrandsud.com
Jean louis Villain
Je suis surpris effectivement de ce témoignage à charge; pour avoir cotoyé l'un des piliers de cette association, par ailleurs professionnel de la plaisance durant de nombreuses années, maintenant retraité, ces descriptions m'étonnent. J'espère que le site fait un contrôle ou pour le moins laisse l'interpellé répondre à l'interpellateur...
Episode 1/8 : Coup de vent au large du Horn
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Alain Briand
Etonnant ce début d'article où l'on parle d'un embarquement payant alors que les 80 € par jour ne sont qu'une modeste participation au coût d'un telle expédition nourriture comprise. Les voiliers privés qui s'aventurent en Antarctique demandent 300 à 400 € par jour. J'espère que ces Carole et Dominique ne sont pas ceux qui ont abandonnés un équipage en Antarctique en se faisant rapatrié par un Cruiser Ship
à suivre....
Alain Briand
Erich Delnatte
Si si il me semble bien que ce soit eux. Mais tu gâches le suspens Alain en dévoilant la fin de l'histoire. Ce sont bien eux qui nous ont abandonné en Antarctique, préférant rentrer en paquebot de croisière plutôt que d’affronter le Drake en retour. Quand ils parlent de mise en danger de la vie d'autrui je pense que c'est à cela qu'ils font allusion: le fait d'avoir laisser un équipage réduit à seulement trois marins ramener le voilier quand eux même se faisait raccompagner en cruise ship.
Erich (le E ami de B dont il est question dans l'article)