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Plaisancier depuis 20 vingt ans, l’accostage me semble être la phase la plus délicate de la navigation avec ce petit moment d’inquiétude. Il y a t’il du vent ? Dans quelle direction ? Avec des bateaux sur lesquels s’appuyer ou pas ? Personne sur le bateau ne sent cette inquiétude, sauf mon équipier(ière) et moi.
C’est ainsi, et tous les manuels de plaisance s’accordent à décrire des accostages délicats.
Chaque été, Résidant sur un port et amoureux des bateaux et des manœuvres, je prends toujours plaisir à voir rentrer les 40 pieds ou plus. Contrairement à mon 18 pieds, je pensais qu’il leur était plus facile d’accoster avec 2 moteurs et un propulseur d’étrave.
Ce qui s’avère vrai dans une certaine mesure, seulement il reste toujours ce moment particulier ou il faut aller à la pêche aux amarres jetées toujours trop loin sur ce quai inquiétant et solide, par rapport à la coque si fragile.
L’équipier(ière) semblant toujours en difficulté par cette amarre trop éloignée malgré la gaffe, il m’est venu l’idée de lui approcher bien avant le quai, et de lui permettre de la crocheter facilement.
Voici comment est né le support d’amarres « Supamar®»…
Mouillage