L'Arctique attire toujours les marins
Entre raisons scientifiques et attrait pour les grands espaces, les régions polaires continuent d'attirer les navigateurs et explorateurs de tous poils. Et sa fascination se prolonge dans la durée... Ceux qui y ont goûté y reviennent. Ainsi, Sébastien Roubinet, le créateur du célèbre catamaran char à voile Babouche, annonce-t-il sa volonté de retourner une nouvelle fois au pôle nord sur un bateau amphibie de sa conception. La fondation Tara lance de son côté un projet de dérive polaire sur une base originale signée de l'architecte navale Olivier Petit, déjà à l'origine de la célèbre goélette Tara.
De l'aventure à la course au large
Ces expéditions polaires forgent le caractère. Après avoir affronter de telles conditions, les marins sont prêts à s'attaquer à presque tous les défis. Le jeune navigateur Guirec Soudée a débuté par ces froides navigations pour se faire un nom d'aventurier, avant de poursuivre à la rame sous des latitudes plus tempérées. Après cela, il ne lui manquait plus que l'Everest des mer comme certains l'appelle. Glissant d'aventurier à compétiteur, il se lance dans la course au large avec un IMOCA pour le Vendée Globe 2024.
Aventures sur mers chaudes
Mais faut-il se faire des engelures pour vivre l'aventure ? Elle est aussi sous les latitudes tropicales. Car sa définition reste suggestive. Une transatlantique en Mini 6.50 en solitaire est aussi un sacré défi, comme nous le raconte au fil de l'eau Hugo, The Sailing Frenchman. Et, même en croisière, elle peut être l'aventure d'une vie, racontée en image par les Prétendants à l'Atlantique.
Conclusion : peu importe la difficulté ou la température, l'aventure démarre quand le bateau largue les amarres !