Pour une grande croisière avec des enfants je suggère d'aller un peu plus loin que le "guide pratique d'intervention en cas de blessures"... Soyons sérieux et formez-vous à la médecine d'urgence en milieu isolé, il y a des stages ad hoc.
Dommage de ne pas citer dans cet article les différents essais de bateaux "volant" par effet de sol, qui n'ont rien de nouveau. Le plus spectaculaire étant sûrement le monstrueux Ekranoplan "Lun", machine de guerre fabriquée par les russes en 1986, aujourd'hui réduite à l'état d'épave historique au Dagestan, sur les rives de la mer Caspienne.
Comment ne pas compléter cet article, en y ajoutant un chapitre sur le gréement de jonque adapté aux bateaux de plaisance actuels, en alternative au gréement bermudien ?Le gréement de jonque n'en finit pas d'intriguer et parfois impressionner les plaisanciers qui le croisent. Il apporte de nombreux avantages, dont l'économie, la facilité d'utilisation, l'adaptabilité immédiate à tout type de conditions météo, par la rapidité à l'affalage et au hissage d'un ou plusieurs de ses panneaux, garantissant la quantité de voile désirée sans changer d'allure ni de cap...Une source important d'informatio est le site de l'Association des Gréements de Jonque (The Junk Rig Association : ).
Mais le cas échéant, je serai intarissable sur le sujet, naviguant moi-même sur une goélette de 39 pieds gréée en jonque !
Patrick (patrick@leblanc.pl)
Chapeau CESAR,
Ton récit a attiré mon attention.. c’est une belle histoire.. je viens de terminer un tour du monde et demi de 18 ans via Bonne Espérance .. en partie sur un Damien IV acier. Résidant à BARBATRE sur ton île je suis à ta disposition et à ton écoute sur tes besoin et pour te transmettre des tas de choses utiles pour ton projet..
A toutes.
mon email : balaebob@yahoo.fr.
Bob
Coque Orange, notre TRISMUS 37 était de cette teinte, navigation hauturière en famille de 81 à 84 Atlantique tropical depuis la Bretagne Sud retour de DK en solitaire en 34 jours...
J'espères que ces petits navires autonomes sont munis d'émetteurs récepteurs AIS, ainsi que de réflecteurs radars pour être repérables par les navires avec équipage.
sont-ils capables d'éviter un malheureux canot qui viendrait à les croiser en plein océan ?
Car à ras de l'eau, pas facile de les voir...
Ils devraient être soumis à l'obligation de veille effective, même si c'est par l'intermédiaire d'un pilote à distance !
Je n'ai pas envie d'être torpillé lors de mes navigations...
Quid de la responsabilité du "propriétaire" de ces engins en cas de sinistre avec mise en danger de la vie humaine ?
Ces véhicules sont bourrés d'électronique de très haute technicité. Vous ne risquez pas d'en voir un de près, car ils sont équipés de systèmes de détection sophistiqués et d'un système de pilotage programmé pour rester systématiquement à l'écart de tout autre mobile. Même si vous vouliez en voir un en mer, vous n'y parviendriez pas car il vous fuirait.
Quand à l'obligation de veille effective, elle ne dérange pas outre mesure certains navigateurs qui font l'admiration des foules à bord de machines magnifiques capables de dépasser 40 nœuds en menant à la victoire leur héros solitaire...