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Ouragan
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Saildrone en escale à Sainte Lucie
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Georges Guittonneau
J'espères que ces petits navires autonomes sont munis d'émetteurs récepteurs AIS, ainsi que de réflecteurs radars pour être repérables par les navires avec équipage.
sont-ils capables d'éviter un malheureux canot qui viendrait à les croiser en plein océan ?
Car à ras de l'eau, pas facile de les voir...
Ils devraient être soumis à l'obligation de veille effective, même si c'est par l'intermédiaire d'un pilote à distance !
Je n'ai pas envie d'être torpillé lors de mes navigations...
Quid de la responsabilité du "propriétaire" de ces engins en cas de sinistre avec mise en danger de la vie humaine ?
Dominique Montesinos
Ces véhicules sont bourrés d'électronique de très haute technicité. Vous ne risquez pas d'en voir un de près, car ils sont équipés de systèmes de détection sophistiqués et d'un système de pilotage programmé pour rester systématiquement à l'écart de tout autre mobile. Même si vous vouliez en voir un en mer, vous n'y parviendriez pas car il vous fuirait.
Quand à l'obligation de veille effective, elle ne dérange pas outre mesure certains navigateurs qui font l'admiration des foules à bord de machines magnifiques capables de dépasser 40 nœuds en menant à la victoire leur héros solitaire...
Carriacou, lieu de rencontre des voyageurs
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Jean claude Gouret
Salut l'archi de Pornichet, pour moi la mer a été un moment d'aventures tropicales au rythme s'un cotre hauturier de 37' sous les tropiques africains et ce pour 4 ans d'aventure (81/84), j'ai mis 34 jours en solitaire de DK Arzal pour le retour et par 2 fois le bateau couché par une déferlante à l'W Madères avec 1 fois éjecté à l'eau mais accroché à la baume...Bon courage pour la suite...
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Raoul Lemercier
A quand un article pour recenser tous les usages nautiques de ce produit miracle ?
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La marina de Brunswick Landing est située dans une zone hautement protégée
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Cyclone
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Projet d'aménagement de Port la Forêt en 1972
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Stephane meteo-formation
Merci pour cet article sur la tempête Ciaran. Mais le plus impressionnant c'est le creusement en plein Atlantique de cette dépression. Une vidéo que j'ai faite sur le sujet qui pourrait vous intéresser :
@meteoformation
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Yann Venance
L'Organisation météorologique mondiale a défini des classes de systèmes en fonction de la vitesse du vent moyen sur 10 minutes :
• la dépression si le vent est inférieur ou égal à la force 7 Beaufort, c'est-à-dire à 62 km/h ou 33 nœuds ;
• la tempête si le vent est compris entre la force 8 et la force 11 Beaufort, c'est-à-dire entre 63 et 117 km/h ou entre 34 et 63 nœuds ;
• l'ouragan si le vent est supérieur à la force 12 Beaufort, c'est-à-dire à 118 km/h ou 64 nœuds.
La température de l'eau peut influencer la formation et l'intensité des cyclones tropicaux, qui sont des systèmes dépressionnaires particuliers et il ne me semble pas que la température de l'eau intervient dans cette classification.
