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Canal de Panama
L'équipage de Sail For Tomorow qui gagne un Sun Odyssey 410....
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Xavier Duplessis
Il est exacte que ces trois canaux sont bien sympathiques et agréables à naviguer, mais vous oubliez le canal de CRINAN en écosse certainement le plus ancien et typique de tous, ou vous devez manoeuvrer vous même les veilles écluses.
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P. Lucas
Les bateaux de Vito Dumas s’appelaient LEHG (I et II) pour Lucha, Entereza, Hombría et Grandeza (lutte, fermeté, honnêteté et grandeur).
En le lisant, l'on se demande bien si cette trempe d'homme existe encore.
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Jean-gabriel Barrault
surtout, fais comme Bernard, mets des lignes de vie de l'arrière à l'avant (Copié sur Corsen, mon bateau, cité ds la longue Route)
Voiliers prêts à prendre le départ de l'Ocean Globe Race (à gauche Pen Duick VI)
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Alain et Fabiola à bord de Va'a, leur Lagoon 42
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L'Askoy ensablé depuis 14 années
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Dalin sur Apivia passe le Cap Horn sur le Vendée Globe 2020
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Catherine Triboulet
Bonjour, je suis skipper ou devrais-je dire skippette... cet article bien que sympathique provenant de cette femme apprivoisée de Mer et d’Ocean, me fait réagir car à nouveau tellement plein de représentations. Sexiste comme toujours «elle porte un regard féminin sur notre pratique ». Seuls les mecs pratiquent la navigation... il va sans dire. Et puis seule la pratique de ces messieurs en Manche reste périlleuse... j’ai eu la chance de naviguer en Manche, Atlantique, Méditerranée, Mer de Chine, Pacifique... les conditions de toutes les « Mers » peuvent se montrer redoutables... cessons de toujours stigmatiser la Méditerranée comme la bien tranquille !
J’ose dire ici que les femmes savent naviguer et même sans homme pour les commander !
Tout mon amical soutien de Marin ou de Marine... à ces grandes dames solitaires du prochain Vendée Globe. Catherine dit « le Bosco » sur son bateau.
Philippe Arguel
Bonjour,
Moi aussi, vous m'avez devancé... Je souhaitais réagir à cette attitude largement répandue consistant à sous-estimer, pour ne pas dire dénigrer, les conditions de navigation en méditerranée. Je m'en tiendrai à un seul exemple vu dans le reportage télévisé sur l'odyssée en méditerranée de Géraldine Danon et Philippe Poupon à bord de leur voilier Fleur Australe. Au départ de Toulon vers la Corse, leur bateau est tout-à-coup bien secoué, la mer est courte, croisée, tout tombe sur les planchers, les embruns rincent abondamment, Poupon est visiblement agacé par cet assaut soudain et, se cramponnant comme elle peut, Géraldine de dire :"Après 18 mois de navigation dans les hautes latitudes, nous n'avons jamais eu un temps comme ça...". Ce n'est pas moi qui le dit.
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